Lasource des Bains Doux (Aude) Si vous passez par Carcassonne, faite un crochet Ă  Rennes-les-Bains, oĂč de nombreuses sources d’eau chaude vous attendent. Une eau dont la tempĂ©rature se situe
En Occitanie, plus prĂ©cisĂ©ment en pays cathare, une ville porte le nom de Rennes
 les Bains ! JumelĂ© avec notre belle citĂ©, notre presque homonyme est une station thermale, spĂ©cialisĂ©e en rhumatologie et dans les traumatismes articulaires. La rĂ©putation de Rennes-les-Bains est cĂ©lĂ©brĂ©e depuis l’exploitation des eaux thermales par les Gallo-Romains, lors de la conquĂȘte par le proconsul romain Domitius du Languedoc Les Volsques. C’était alors une station thermale importante de la Gaule narbonnaise. Elle l’est restĂ©e depuis grĂące Ă  son Ă©tablissement thermal”, explique la brochure touristique. Les sources chaudes, au nombre de cinq, produisent une eau dont la tempĂ©rature varie entre 34 °C et 44 °C. Bien moins peuplĂ©e que Rennes 201 Ăąmes, Rennes-les-Bains provenant du nom Rhedae compta jusqu’à 522 Ăąmes en 1836. Ses habitants se font appeler les Rennois pour ne pas confondre avec les Rennais !. CitĂ© de caractĂšre, elle est apprĂ©ciĂ©e pour son patrimoine naturel Natura 2000, abritant une avifaune riche et variĂ©e busards, aigle royale, circaĂšte jean-le-blanc
 Dans ce village thermal le seul dans l’Aude, les visiteurs dĂ©couvriront l’église paroissiale oĂč l’énigmatique AbbĂ© Boudet, auteur de La Vraie Langue celtique et le cromleck de Rennes-les-Bains, a officiĂ© au XIXe siĂšcle. Cet Ă©difice est dĂ©diĂ© Ă  saint Nazaire et saint Celse, deux martyrs chrĂ©tiens ayant vĂ©cu sous le rĂšgne de NĂ©ron. DĂ©jĂ  citĂ© en 1162, le bĂątiment fut remaniĂ© plusieurs fois au fil du temps, avec au nord, le presbytĂšre et au sud-est, le cimetiĂšre au fond duquel coule la Sals. En surplomb de cette riviĂšre, le jardin du docteur Paul Courrent peut offrir un dĂ©licieux moment de dĂ©tente et de fraĂźcheur. Une stĂšle reprĂ©sente le mĂ©decin qui contribua grandement au dĂ©veloppement et Ă  la rĂ©putation de la station thermale. Son souvenir est cĂ©lĂ©brĂ© tous les ans au mois d’aoĂ»t lors de la FĂȘte des baigneurs,» prĂ©cise l’office de tourisme. Le jardin du docteur Paul Courrent. À deux pas, les Bains doux tempĂ©rature de 38° sont une source chaude accessible gratuitement et en plein air. Elle Ă©tait captĂ©e par l’établissement Ă©ponyme qui soulageait jadis les douleurs articulaires ainsi que les affections de la peau. Elle fut nommĂ©e Ă©galement Bains des Ladres ou Bains des dĂ©lices. AprĂšs ce moment thermal, il sera temps de sustenter gaiement en dĂ©couvrant la gastronomie locale. On vous conseille les pĂ©bradous gĂąteau apĂ©ritif, la fricassĂ©e de Limoux plat Ă  base de porc, le Saint-Martin brioche sucrĂ©e, le biscotin d’Alet nougat le tout est accompagnĂ© d’AOP Limoux et AOP MalepĂšre ! Rennes-les-Bains est le point de dĂ©part de la dĂ©couverte de l’arriĂšre-pays audois chĂąteaux cathares [Arques], l’Abbaye d’Alet les Bains. NichĂ©e dans la vallĂ©e de l’Aude, elle est enserrĂ©e entre le Mont Cardou 796 m et le pic de Bugarach 1231 m oĂč l’on peut faire de magnifiques ranndonĂ©es. Un marchĂ© est organisĂ© Ă  Rennes-les-Bains, tous les mardis, jeudis et samedis matin. Pour plus de renseignements office de tourisme du Limouxin, 7 avenue du Pont de France, 11300 Limoux. 04 68 31 11 82. Mail [email protected] Infos + la place des Deux Rennes est appelĂ©e ainsi, car Rennes-les-Bains est jumelĂ©e avec Rennes en Bretagne depuis 1986. Non loin, la rue centrale abrite de nombreux commerces, dont une librairie, une miellerie, une sociĂ©tĂ© de production et de distribution de films. Fontaine des amours. Infos ++ Dans le parc de la Reine, des fouilles archĂ©ologiques effectuĂ©es en 1993 attestent une activitĂ© thermale; utilisant Ă  la fois l’eau de la Sals et celle de la source de la Reine dĂšs la fin du premier siĂšcle av. Fauteuil du diable. Rennes-les-Bains is a southern French village which became famous after Kate Moss "SĂ©pulcre" and Dan Brown "Da Vinci Code". Less famous than its twin Rennes-le-ChĂąteau, it is the site of former Roman baths three hot springs still running today. > Mariano Tomatis marianotomatis July 1, 2021 Vous aimerez aussi Le monde de la mer a connu des grands marins malouins. Impossible de tous les citer. Mais on rendra... Lire + La ville de PlĂ©lan-le-Grand est connue pour sa longue rue commerçante et son marchĂ© dominical... Lire + Samedi 30 juillet 2022, Ă  l’occasion d’une rencontre entre le Stade Rennais et Aston Villa, vers 22... Lire + AprĂšs Flavien Tait, le Stade Rennais vient d’annoncer l’arrivĂ©e du joueur belge, Arthur Theate. ... Lire + La ligne b n’est pas encore ouverte on parle d’une mise en circulation en septembre si tout va... Lire + AprĂšs deux annĂ©es d’interruption, la braderie de Villejean reprend du service ! Elle se... Lire + A propos de l'auteur jean-christophe collet Pour tout contact. 06 75 37 16 66
Rennesles-bains, l’unique station de 35 Ă  47°C sont recommandĂ©es dans le traitement des maladies rhumatologiques. La minuscule station ne compte pas moins de onze sources, froides et
ï»żSource des Bains Doux Rennes les Bains L'eau sort en dessous des anciens thermes, sous la route. Elle est trĂšs chaude 33°C. Hydromassage sous le grand jet ou repos dans la baignoire en pierre. En saison, y aller plutĂŽt le matin ou en fin d'aprĂšs midi. Meilleur endroit pour voir de prĂšs les poissons. Depuis les villes les plus proches, approximativement Distance Temps 26 km depuis Mouthoumet 29 km depuis Laroque de Fa 35 minutes 38 minutes Situer sur la carte de l'Aude en cours d'Ă©laboration A310 mĂštres d’altitude, le camping « La BernĂšde » est un havre de tranquillitĂ© et de bien-ĂȘtre. SituĂ© dans Rennes-les-Bains, l’unique station thermale de l’Aude au pied du Pic du Bugarach, vous rĂ©siderez au cƓur des abbayes et des chĂąteaux Cathares, Ă  50 km de la CitĂ© de Carcassonne et Ă  1 heure de la mer MĂ©diterranĂ©e. Une eau sulfureuse, parfois eau sulfurĂ©e, est une eau contenant un composĂ© du soufre, le sulfure d’hydrogĂšne, qui lui confĂšre une odeur caractĂ©ristique d’Ɠuf C’est quoi de l’eau thermale ? On entend par eaux thermales » les eaux minĂ©rales naturelles utilisĂ©es Ă  des fins thĂ©rapeutiques dans un Ă©tablissement trouver de l’eau soufrĂ©e ? En France, les principales sources d’eaux sulfureuses sont situĂ©es dans les PyrĂ©nĂ©es-Orientales. Les stations les plus connues de la rĂ©gion sont Ă  Dorres, Ă  Llo, ou encore Ă  Saint-Thomas-les-Bains. D’autres sources d’eaux sulfureuses existent aussi dans les Hautes-Alpes, l’Aude et le Comment faire de l’eau soufrĂ©e ? Les indications. Comme le soufre Ă  l’état pur est difficile Ă  manipuler, il faut plutĂŽt utiliser le Kalium sulfuratum, Ă  se procurer en pharmacie. L’eau doit ĂȘtre trĂšs chaude, entre 35 et 37°C, afin que les vapeurs soient aussi profitables. Il ne faut pas se laver immĂ©diatement aprĂšs le sont les eaux sans nitrates ?Certaines eaux minĂ©rales garantissent une teneur nulle en nitrates comme par exemple Wattwiller, Saint Antonin ou Aquarel. Eaux Ă  teneur faible en nitrates Evian 1mg/L, Vittel 4,5mg/L, Contrex 2,7mg/L. Pour exemple, l’eau du robinet de Paris contient 15 Ă  48 mg/L de faire de l’eau thermale ? 10 façons d’ utiliser son eau thermale 1/ Booster l’efficacitĂ© de sa crĂšme. 
 2/ Fixer son make-up. 
 3/ Parfaire le dĂ©maquillage. 
 4/ DĂ©congestionner des paupiĂšres gonflĂ©es. 
 5/ DĂ©mĂȘler ses cheveux mouillĂ©s plus facilement. 
 6/ Apaiser sa peau. 
 7/ En retouche, pendant la journĂ©e. 
 8/ Intensifier la couleur d’un fard Ă  se trouve l’eau thermale ? La Bourboule et le Mont-Dore, dans le Puy-de-DĂŽme, sont deux villes thermales qui regorgent de sources naturelles et sauvages Ă  40°C environ. La ville de Bagnols-les-Bains en LozĂšre est rĂ©putĂ©e pour ses sources chaudes, Ă  41°C, qui Ă©taient dĂ©jĂ  connues Ă  l’époque est l’eau thermale la plus hydratante ? L’eau thermale d’Uriage, super hydratante La station thermale d’Uriage a Ă©tĂ© reconnue d’utilitĂ© publique par l’AcadĂ©mie de mĂ©decine en 1877. Elle est trĂšs riche en oligo-Ă©lĂ©ments et en sels minĂ©raux calcium et magnĂ©sium, ce qui en fait une eau que le soufre est dangereux pour la santĂ© ?L’obstruction des bronches ainsi qu’une diminution momentanĂ©e ou durable du dĂ©bit respiratoire sont les principaux effets d’une intoxication au dioxyde de soufre. Elles peuvent ĂȘtre mortelles si le dioxyde de soufre est inhalĂ© en grande traiter l’eau sulfureuse ? Le traitement classique contre les bactĂ©ries sulfatorĂ©ductrices consiste Ă  utiliser la chloration concentrĂ©e. Il n’existe actuellement aucune analyse disponible en ce qui concerne les bactĂ©ries enlever l’odeur de soufre dans l’eau ?Si l’odeur est due Ă  H2S, un filtre Ă  sable vert ou dĂ©gazeur est une bonne alternative pour ce type de rĂ©duction des odeurs. Les filtres Green Sand utilisent un revĂȘtement spĂ©cial d’oxyde de manganĂšse qui corrode gaz de sulfure d’hydrogĂšne en soufre minĂ©raux durs, qui sont ensuite l’eau sent le souffre ? L’odeur indique la prĂ©sence du gaz nommĂ© sulfure d’hydrogĂšne H2S. Ce gaz est produit par des microorganismes anaĂ©robiques qui vivent dans des milieux en absence d’oxygĂšne, comme l’eau d’un puits par exemple qui transforment les composĂ©s de soufre inodores que contient votre eau en sulfure d’ sont les eaux les moins minĂ©ralisĂ©es ?Traditionnellement, les pĂ©diatres recommandent une eau minĂ©rale faiblement minĂ©ralisĂ©e dont le rĂ©sidu sec est infĂ©rieur Ă  500 mg par litre Evian, Mont Roucous, Thonon, Valvert, Volvic .Quelle est la meilleure eau en bouteille ?La meilleure eau minĂ©rale distribuĂ©e dans le gros commerce est la Volvic avec 130 mg / L. et un pH de est la meilleure eau pour les intestins ? Au-delĂ  d’une hydratation suffisante, boire l’eau minĂ©rale naturelle HĂ©par peut constituer un vrai atout pour vous aider Ă  amĂ©liorer votre transit intestinal. En effet, l’eau HĂ©par est la seule eau minĂ©rale naturelle plate Ă  avoir prouvĂ© son effet sur le transit1.Quelle est la meilleure eau pour le visage ? L’eau florale de lavande elle, c’est le couteau suisse. Elle est anti-inflammatoire comme la camomille, mais elle sait aussi tonifier les peaux fatiguĂ©es, resserrer les pores des peaux mixtes, apaiser les flushs des peaux sensibles. L’eau florale de ciste cet hydrolat tonifie la peau et son action est que l’eau thermale hydratĂ© la peau ?L’eau thermale hydrate Ainsi, on donne directement Ă  boire Ă  notre Ă©piderme. De plus, les eaux thermales sont souvent enrichies en sels minĂ©raux qui permettent de retenir l’eau dans la eau utiliser pour le visage ? L’eau florale pour le visage Si vous cherchez Ă  avoir une belle peau, l’eau florale est tout indiquĂ©e. Le matin, elle peut faire office de lotion tonique pour rĂ©veiller la peau, Ă©liminer les Ă©ventuels rĂ©sidus de crĂšme de nuit et prĂ©parer l’épiderme aux soins se trouvent les sources d’eau ?Elles s’écoulent Ă  flanc de montagne et principalement dans les rĂ©gions volcaniques, oĂč l’eau est en contact direct avec de la roche Ă  trĂšs haute tempĂ©rature. Les bassins d’eaux chaudes se trouvent en extĂ©rieur. Jaillissant Ă  quelques 40°C, ces sources assurent cependant un bain chaud Ă  toute Ă©poque de l’ est l’eau des sources thermales ? Les eaux thermales sont des eaux d’origine souterraine naturellement chaudes qui se sont enrichies de sels minĂ©raux et d’oligo-Ă©lĂ©ments lors de leur parcours dans les roches. Leurs compositions, particuliĂšres et constantes, sont reconnues par l’AcadĂ©mie Nationale de trouver des sources d’eau chaude naturelles et gratuites en France ? 7 sources d’eau chaude gratuites ou presque en France Plan de Phazy, Guillestre, Hautes Alpes. 
 Les Sources d’eau chaude de Prats-Balaguer, PyrĂ©nĂ©es Orientales. 
 La Source des Bains Doux Ă  Rennes-les-Bains, Aude. 
 Les Bains de Dorres, PyrĂ©nĂ©es Orientales. 
 La Source Chaude de MĂ©rens-les-Vals, PyrĂ©nĂ©es que l’eau thermale hydratĂ© ? L’eau thermale hydrate Ainsi, on donne directement Ă  boire Ă  notre Ă©piderme. De plus, les eaux thermales sont souvent enrichies en sels minĂ©raux qui permettent de retenir l’eau dans la sont les meilleures eaux thermales ? Quelles sont les meilleures stations thermales de France ? Thermes de Luchon. Luchon peut s’enorgueillir de possĂ©der les eaux les plus sulfurĂ©es des PyrĂ©nĂ©es. 
 AvĂšne-les-Bains. 
 Évian-les-Bains. 
 Thermes de Borda. 
 PlombiĂšres-les-Bains. 
 La Roche-Posay. 
 AmĂ©lie-les-Bains. 
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Àla recherche du secret perdu - Rennes-les-Bains, antique station thermale. De StĂ©phanie Buttegeg. 2015, 54 p. Dossier thermo-reliĂ© de 49 pages, format 21 X 29 cms. Couverture couleur, nombreuses photos en noir et blanc. De la source du Cercle aux thermes romains.
l'essentiel Entre MĂ©diterranĂ©e et PyrĂ©nĂ©es, les eaux chaudes de Rennes-les-Bains font toujours le charme de cette station familiale, la derniĂšre de l’Aude
 À l’entrĂ©e du village, le dernier virage en arrivant de Couiza accueille le visiteur fatiguĂ© avec la meilleure des promesses. Ici ? C’est la "source des Bains Doux"
 Et ne pas se fier aux ruines des thermes du XIXe siĂšcle avec leurs baignoires sarcophages vides. Regarder plutĂŽt Ă  gauche, en contrebas, sur les terrasses naturelles qui encadrent les eaux limpides de la Sals. Les baigneurs sont lĂ  et surtout dans ce bassin bricolĂ© pour recevoir la source passant dĂ©sormais sous la route. "L’eau sort Ă  33 °C, lĂ©gĂšrement soufrĂ©e, je viens ici tous les jours depuis six ans, mĂȘme l’hiver", sourit Christian, dans un bassin oĂč bullent une dizaine de personnes. Barbe blanche, mĂ©dailles du Bouddha et de l’"aum" hindouiste, "ici, on m’appelle Merlin, Gandalf ou LĂ©onard de Vinci", s’amuse ce Breton venu Ă  Rennes-les-Bains "parce que j’ai senti que les eaux guĂ©rissaient et parce qu’il y a plein de mystĂšres Ă  dĂ©couvrir dans la rĂ©gion", sourit-il, malicieux. Eh oui
 Car ici, Ă  50 km de Carcassonne et 25 de Limoux, on est Ă  deux pas de Bugarach et Rennes-le-ChĂąteau. Ce faisant, cĂŽtĂ© lĂ©gendes et syncrĂ©tismes alĂ©atoires
 du trĂ©sor perdu des Wisigoths Ă  celui de l’abbĂ© SauniĂšre, du faux roi cachĂ© des MĂ©rovingiens aux vrais Cathares persĂ©cutĂ©s par l’inquisition en passant par la grotte de Marie-Madeleine, sans oublier l’abbĂ© Boudet, 42 ans, curĂ© de Rennes-les-Bains, fameux hermĂ©tiste
 "C’est vrai que le cĂŽtĂ© Ă©sotĂ©rique fait rĂȘver certains
", constate mi-fataliste mi-bienveillant le Dr AndrĂ© Authier, maire de cette commune de 240 habitants, rhumatologue et ancien prĂ©sident de la SociĂ©tĂ© française d’hydrologie et de climatologie mĂ©dicale. Mais ce qui ne doit pas faire oublier la vraie formule secrĂšte historique de Rennes-les-Bains H2O, la molĂ©cule d’eau restant la base des authentiques soins qu’on y prodigue. Eaux trĂšs salĂ©es de la Sals – jusqu’à 60 g par litre Ă  la source – que tempĂšrent celles de la Blanque, mais surtout, eau des cinq sources chaudes locales, Bains-Doux, Bains-Forts, Bains de la Reine, source Gieules et source Marie, sans oublier les sources froides de La Madeleine ou de La Fontaine des Amours
 "Ici aussi, l’histoire commence Ă  l’époque gallo-romaine puisqu’on a identifiĂ© quatre bassins et qu’il reste une mosaĂŻque, malheureusement sous le limon Ă  hauteur de la piscine actuelle de l’établissement thermal", explique le Dr Authier. Et ici aussi, l’ñge d’or du Second Empire et de la IIIe RĂ©publique se lit encore dans le bĂąti d’un village oĂč les frondaisons de la place des Deux Rennes invitent Ă  profiter de la vie. "Rennes Ă©tait la station de Carcassonne et du "plat pays", de Narbonne. Aujourd’hui encore, nous conservons ce noyau narbonnais", reprend le maire, auteur de Patrimoine et tradition du thermalisme, aux Ă©ditions Privat. "Sur nos 1300 curistes habituellement, 75 % sont audois et nous avons essentiellement une clientĂšle de fidĂšles qui viennent aussi d’Occitanie", confirme Catherine Warnier, directrice adjointe des thermes. Traitement des rhumatismes, de l’arthrose et des sĂ©quelles ostĂ©o-articulaires, soulagement de la douleur
 "Nous avons de trĂšs bonnes eaux, naturellement chaudes et fortement minĂ©ralisĂ©es, avec de trĂšs bonnes qualitĂ©s thĂ©rapeutiques", souligne le Dr Authier, tandis que la station s’oriente dĂ©sormais aussi vers la prise en charge des personnes souffrant de fibromyalgie, avec fatigue et douleurs chroniques. "Les eaux sont super, mais il y a aussi la qualitĂ© des soins c’est Ă  dimension humaine, familiale, ce n’est pas anonyme, les gens connaissent votre nom", se fĂ©licite pour sa part un curiste, redescendant vers la Sals, en contrebas, tranquille en Ă©tĂ© mais dont personne, ici, n’a oubliĂ© la crue dĂ©vastatrice du 26 septembre 1992 et ses trois victimes que commĂ©more une plaque au cimetiĂšre. L’avenir d’une petite station, aujourd’hui ? À Rennes, le thermalisme de proximitĂ© veut lui aussi croire en une renaissance, surtout dans un "monde d’aprĂšs" oĂč le meilleur mĂ©dicament sera celui dont on aura fait l’économie. "Trop de pistes ont Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©es pour de nombreuses pathologies et il faut dĂ©velopper le thermalisme de prĂ©vention. Au niveau curatif, il s’adresse Ă  des affections incapacitantes chroniques, il soulage, mais au-delĂ , il apporte calme et sĂ©rĂ©nitĂ© dans le cadre d’une nature apaisante Ă  Rennes. Les anxiolytiques, antidĂ©presseurs, anti-inflammatoires qu’on n’aura pas Ă  prescrire, c’est aussi une gestion saine de la santĂ©", conclut le maire rhumatologue.
LaSource des Bains Doux à Rennes-les-Bains - Aude (11) Il existe 6 sources thermales exploitées à Rennes-les-Bains. Seule la source dite des Bains Doux est encore en accÚs libre. Les Bains Doux
Type d'opĂ©ration Vente75 Location De Vacances1 DerniĂšre actualisation DerniĂšre semaine Derniers 15 jours Depuis 1 mois Prix € Personnalisez 0 € - 250 000 € 250 000 € - 500 000 € 500 000 € - 750 000 € 750 000 € - 1 000 000 € 1 000 000 € - 1 250 000 € 1 250 000 € - 2 000 000 € 2 000 000 € - 2 750 000 € 2 750 000 € - 3 500 000 € 3 500 000 € - 4 250 000 € 4 250 000 € - 5 000 000 € 5 000 000 € +✚ Voir plus... PiĂšces 1+ piĂšces 2+ piĂšces 3+ piĂšces 4+ piĂšces Superficie mÂČ Personnalisez 0 - 15 mÂČ 15 - 30 mÂČ 30 - 45 mÂČ 45 - 60 mÂČ 60 - 75 mÂČ 75 - 120 mÂČ 120 - 165 mÂČ 165 - 210 mÂČ 210 - 255 mÂČ 255 - 300 mÂČ 300+ mÂČ✚ Voir plus... Salles de bains 1+ salles de bains 2+ salles de bains 3+ salles de bains 4+ salles de bains Visualiser les 25 propriĂ©tĂ©s sur la carte >
RĂ©sidencela Reine (Residence La Reine) - L'appartement RĂ©sidence la Reine offre une cuisinette, ainsi que des chambres avec un canapĂ©, fenĂȘtres insonorisĂ©es et une kitchenette. L'appartement est placĂ© Ă  6 km du fort Saint-Elme, et Ă  7 km du MusĂ©e BĂ©renger SauniĂšre. La citĂ© de Carcassonne est l'un des sites les plus visitĂ©s de France. ClassĂ©e au patrimoine mondial de l'UNESCO, la forteresse attire chaque annĂ©e de plus en plus de visiteurs. Si vous ĂȘtes parmi ceux-lĂ , n'hĂ©sitez pas Ă  descendre un peu vers le Sud, d'autres sites superbes vous attendent ! D'ailleurs en voici un, aujourd'hui je vais vous prĂ©senter le village d'Alet-les-Bains qui se recommande Ă  divers titres, pour son site privilĂ©giĂ© et son lieu de mĂ©moire qui a marquĂ© l'histoire. Ce lieu historique intĂ©resse les savants et le simple touriste. Dans cette rĂ©gion du RazĂšs il y a de nombreux sites intĂ©ressants Ă  dĂ©couvrir. Je vous en ai dĂ©jĂ  d'ailleurs dĂ©voilĂ© quelques uns comme Rennes-le-ChĂąteau, le chĂąteau de Couiza, etc
. il vous suffit de vous reporter au sommaire pour consulter les articles qui leur sont consacrĂ©s. Je remercie vivement tous les photographes qui participent Ă  la mise en valeur de ce reportage et de ce fait, permettent la dĂ©couverte de ce patrimoine au plus grand nombre. J'ai vraiment pris plaisir Ă  monter ce reportage sur une des plus belles ruines de France. J'espĂšre donc, que vous aurez plaisir Ă  le lire. Je vous souhaite une bonne lecture 
. Alet-les-Bains se situe au Sud de Carcassonne entre Limoux et Couiza. Alet est Ă  9 km de Limoux, 34 km de Carcassonne, 105 km de Toulouse, 97 km de Narbonne et 74 km de Foix Alet-les-Bains se situe comme vous pouvez le voir Ă  9 km au Sud de Limoux. L'ancienne abbaye de Saint-Polycarpe, le chĂąteau des ducs de Joyeuse, Rennes-le-ChĂąteau et le chĂąteau d'Arques, se trouvent dans un pĂ©rimĂštre trĂšs rĂ©duit autour d'Alet, vous avez de belles visites Ă  faire en perspective. Zoom sur la carte IGN du secteur Vous remarquerez que le pont ruinĂ© romain "le pont du Diable", l'usine d'embouteillage et la source thermale d'eau chaude, se trouvent au Nord d'Alet Panorama d'Alet-les-Bains vu de l'Est Panorama d'Alet-les-Bains dans son Ă©crin de verdure Alet-les-Bains, l'Ă©glise paroissiale Saint-AndrĂ© et juste Ă  cĂŽtĂ©, les ruines de l'abbaye avec les vestiges du clocher Notre-Dame datant du XI Ăšme siĂšcle Blason de la commune d'Alet-les-Bains tel que dĂ©crit en 1696 par Charles d'Hozier Blason actuel de la commune d'Alet-les-Bains Village de l'Aude, ALET-LES-BAINS Les habitants d'Alet-les-Bains se nomment les AlĂ©tois, au recensement 2010 il y avait 431 habitants dans la commune. La petite citĂ© d'Alet se situe au sud de Carcassonne, au pied des premiers contreforts des PyrĂ©nĂ©es, Ă  9 km de la ville de Limoux. La riviĂšre d'Aude borde la ville. Un petit cours d'eau, le ThĂ©ron, qui traverse la vallĂ©e, arrose au moyen d'un aqueduc toutes les parties de la ville. Alet remonte Ă  la plus haute antiquitĂ©, ce nom d'Alet dont l'Ă©tymologie premiĂšre Electus veut dire "lieu choisi, endroit privilĂ©giĂ©", lui vient de sa situation exceptionnelle dans la vallĂ©e de l'Aude. Le charmant vallon d'Alet, que l'on nomme "le jardin du dĂ©partement de l'Aude" est abritĂ© de toutes parts par des montagnes Ă©levĂ©es. Une vue aĂ©rienne d'Alet-les-Bains, photo prise du Sud-Ouest Avant l'occupation romaine, cet oppidum Gallo-celtique Ă©tait occupĂ© par une tribu de gaulois Atacins qui fondĂšrent le bourg d'Alektha. Sous l'occupation romaine, Alet Ă©tait un chef-lieu de district avec une source thermale tant apprĂ©ciĂ©e par les Romains, ils nommĂšrent le lieu Pagus Electensis qui veut dire bourg choisi ou endroit de prĂ©dilection. Voici Ă  titre d'exemple, la source thermale d'eau chaude de Rennes-les-Bains tout proche d'Alet. Cette source d'eau chaude Ă  37° ici Ă  Rennes-les-Bains, ce sont les "bains doux", situĂ©s route de Couiza, rive gauche de la Sals, cette source est accessible par le jardin de la Reine Ă  Rennes-les-Bains. Alet, ou Aleth, en latin Electensis, est une ville Ă©piscopale du Bas-Languedoc. Ce n'Ă©tait autrefois qu'une abbaye de l'Ordre de Saint-BenoĂźt qui Ă©tait dĂ©jĂ  cĂ©lĂšbre vers le milieu du XI Ăšme siĂšcle, et dont le Pape Jean XVIII fait mention dans une de ses lettres datĂ©e de la sixiĂšme indiction au mois de juin, ce qui revient Ă  l'an 1008. L'Ă©glise d'Alet appartint Ă  une abbaye de bĂ©nĂ©dictins jusqu'au XIV Ăšme siĂšcle, un siĂšge Ă©piscopal y fut Ă©tabli. SituĂ©e dans l'ancien comtĂ© du RazĂšs, contrĂŽlant l'accĂšs de la Haute VallĂ©e de l'Aude, l'abbaye d'Alet a Ă©tĂ© trĂšs sollicitĂ©e au cours de son histoire pour son rĂŽle stratĂ©gique. Cependant, elle n'apparaĂźt souvent qu'au second ordre dans l'Ă©chiquier politique entre grandes familles mĂ©ridionales. A gauche, les toits d'Alet-les-Bains. A droite, les ruines de l'abbaye d'Alet cliquez sur la photo pour agrandir L'abbaye est d'origine carolingienne. L'Ă©rection de l'abbaye en Ă©vĂȘchĂ© se fit en 1318. Alet Ă©tant Ă©rigĂ©e en ville, le Pape Jean XXII y Ă©tablit en 1329 un siĂšge Ă©piscopal dans l'Ă©glise de Notre-Dame, dont il ordonna le premier Ă©vĂȘque un prĂȘtre nommĂ© BarthĂ©lĂ©my. Il sĂ©para du diocĂšse de Narbonne toute la partie mĂ©ridionale du comtĂ© de RazĂšs jusqu'aux confins des pays de Roussillon et de Conflans. Ce pape avait d'abord dĂ©signĂ© comme ville Ă©piscopale Limoux on Limouth ; mais il trouva trop d'opposition Ă  ce dessein. Quelques auteurs disent cependant qu'il mit d'abord cet Ă©vĂȘchĂ© Ă  Limoux, Ă  une lieue d'Alet, mais qu'il l'y transfĂ©ra trois ans aprĂšs, d'autres disent l'annĂ©e suivante. La CathĂ©drale qui Ă©tait cette ancienne abbaye dont je viens de parler, fondĂ©e dans le IX Ăšme siĂšcle par BĂ©ra comte de Roussillon, et consacrĂ©e Ă  notre bienheureux PĂšre Saint BenoĂźt, Ă©tait parfaitement belle ; mais, ayant Ă©tĂ© dĂ©truite par les hĂ©rĂ©tiques, les chanoines firent leur cathĂ©drale dans l'ancien rĂ©fectoire des moines. Le cimetiĂšre est assez proche de lĂ , et Messeigneurs Nicolas Pavillon et Tassoureau tous deux Ă©vĂȘques d'Alet, ont voulu y ĂȘtre enterrĂ©s simplement. L'Ă©glise cathĂ©drale est dĂ©diĂ©e Ă  la Vierge, et son Chapitre est composĂ© d'un doyen, de trois autres dignitaires et de douze chanoines. Le diocĂšse d'Alet comprenait autrefois quatre-vingts paroisses. Voici une carte du diocĂšse d'Alet-les-Bains, je possĂšde cette carte en fichier pdf, ici elle n'est pas trĂšs lisible, c'est pour cela qu'elle a Ă©tĂ© synthĂ©tisĂ©e ci-dessous Carte du diocĂšse d'Alet-les-Bains, qui comprenait le Pays de Sault, le Capcir, le Donezan, le FenouillĂšdes et le RazĂšs Il faut savoir qu'Alet-les-bains n'a jamais appartenu Ă  aucune famille seigneuriale. L'Aude Ă  Alet-les-Bains Le pont d'Alet datant du XVII Ăšme siĂšcle Le pont permettant de desservir le village d’Alet-les-Bains, est un pont en arc fait de pierres de taille datant de 1627 et 1640. Il est constituĂ© de 4 travĂ©es de longueurs variables 11,20 m - 20,50 m - 20,70 m - 20,80 m. Le pont d'Alet datant du XVII Ăšme siĂšcle Les vestiges des fondations de part et d'autre de l'Aude, du pont romain que l'on a surnommĂ© "le pont du Diable" Il est situĂ© en bordure de l' Aude, Ă  500 mĂštres au Nord-Ouest d' Alet. Afin de faire traverser leurs troupes et leurs chars, les Romains durent trouver un pont suffisamment solide pour franchir le fleuve Atax l'Aude, et remplacĂšrent un pont en bois existant, par un magnifique pont en maçonnerie, dĂ©truit en partie depuis un temps immĂ©morial, et dont on admire encore les piles qui paraissent indestructibles. Il y a deux lĂ©gendes concernant ce pont, l’une reposant sur une donnĂ©e historique, l’autre engendrĂ©e par les idĂ©es superstitieuses du Moyen-Âge. Des Ă©crits antiques relatant des Commentaires de CĂ©sar dans lequel il est fait mention d’un pont sur le fleuve Atax l'Aude qui fut bĂąti en un jour. Or des esprits simples et crĂ©dules, qui admettaient cette version, ne purent croire que seul la main de l’homme put venir Ă  bout de cette Ɠuvre gigantesque en l’espace de vingt-quatre heures, et trouvĂšrent plus commode de faire intervenir l’esprit malin pour expliquer ce fait miraculeux. VoilĂ  comment le pont romain d’Alektha fut appelĂ© le "Pont du Diable". Il est classĂ© aux Monuments Historiques depuis 1948. OCCUPATION ROMAINE DE LA VILLE D'ALET-LES-BAINS Le tĂ©moignage le plus apparent de l'occupation romaine est l'ancien columbarium, ou sĂ©pulcrum, dont nous voyons les restes sur le flanc de la montagne entre la vieille porte de la CadĂšne et la source orientale. Ce columbarium prĂ©sente sa face au sud et occupe sur le rocher formĂ© d'un conglomĂ©rat de calcaire sableux et blanc, incrustĂ© de nombreuses petites pierres roulĂ©es, une superficie verticale, d'environ 15 mĂštres de long, sur 3 mĂštres de hauteur voir la photo ci-aprĂšs. Les niches destinĂ©es Ă  recevoir les urnes, se composent de deux sĂ©ries les plus grandes, Ă  gauche, pouvant contenir deux ollae sĂ©parĂ©es d'un mĂštre de roche nue de la deuxiĂšme composĂ©e de cases plus restreintes. Dans chacune, on pouvait dĂ©poser une couple d'urnes cinĂ©raires ollae. En tout quarante cinq compartiments se voient encore. Les 45 niches creusĂ©es dans le roc, et dont les unes ont 0,40m X0,40m et les autres 0,25m X 0,30m sont les seuls tĂ©moins qui restent aujourd'hui de ce lointain passĂ©. Un chemin partant de la porte de la CadĂšne passe au dessus du Columbarium. C'Ă©tait donc un cimetiĂšre commun, pour les sĂ©pultures Ă  incinĂ©rations, telles que le pratiquaient les romains. On a retrouvĂ© aussi des mĂ©dailles romaines dans Alet et les environs. Des restes de constructions ont Ă©tĂ© dĂ©couverts Ă  l'orient d'Alet et dans les potagers contigus aux thermes. A 500 mĂštres en aval d'Alet, on voit encore les ruines importantes du Pont-du-Diable construit par les romains. L'occupation romaine Ă  Alet commença en 118 avant JĂ©sus-Christ et s'acheva en l'an 440 de notre l'Ăšre. Voici une photo du columbarium d'Alet-les-Bains L'abbaye d'Alet, la chapelle conservĂ©e du choeur gothique L'abbaye d'Alet, autre photo de la chapelle conservĂ©e du choeur gothique L'abbaye d'Alet, l'abside romane, l'ensemble du chevet dans l'abside romane, photo de droite, l'intĂ©rieur du choeur de l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet l'intĂ©rieur du choeur de l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet L'abbaye d'Alet, façade Nord Ouest de l'Ă©glise abbatiale avec ses grandes baies Ă  arcs en plein cintre L'abbaye d'Alet, les vestiges de la chapelle, le choeur gothique L'abbaye d'Alet, la travĂ©e Sud TEMPLE PAÏEN D'ALET DÉDIÉ A DIANE LA DÉESSE DES FORÊTS Était-ce un Ă©difice complet, le Sacellum de la DĂ©esse, ou bien une stĂšle massive ou carrĂ©e au faite pyramidal ayant au milieu une cavitĂ© destinĂ©e Ă  abriter l'Idole ? Toujours est-il, qu'il existe un monument conservĂ© au musĂ©e des Grands-Augustins de Toulouse, un Cippe ou Autel votif en marbre provenant de la ville d'Alet, haut de 0,53 mĂštres et de 0,38 mĂštres de longueur avec un dĂ©cor et des inscriptions sur la face de devant MATRI DEUM CN. POMP. PROBUS CVRATOR TEM. PLI. V. S. L. M. Traduction "A la MĂšre des Dieux, CnĂ©ius PompĂ©ius Probus, Curateur du Temple. Juste accomplissement d'un vƓu spontanĂ©. Les quatre lettres V. S. L. M. sĂ©parĂ©es par des points sont le commencement des mots votum, solvit, libens, merito." Le cimetiĂšre a toujours existĂ© autour de l'Église d'Alet, il a remplacĂ© le temple de Diane, car le christianisme a transformĂ© les Temples paĂŻens, ainsi que les lieux sacrĂ©s, en lieux consacrĂ©s aux sĂ©pultures des fidĂšles. Certains archĂ©ologues pensent que le chƓur semi-circulaire de l'Église de Notre-Dame d'Alet pouvait bien ĂȘtre en totalitĂ© ou du moins en partie, l'antique Fanum de Diana-Augusta. Voici le plan de l'abbaye d'Alet pour vous reprĂ©rez FONDATION DE L'ABBAYE D'ALET La fondation de l'Abbaye d'Alet daterait de ces pĂ©riodes troublĂ©es par les guerres et les invasions VI Ăšme - VII Ăšme siĂšcles. L'abbĂ© responsable du monastĂšre Ă©tait considĂ©rĂ© comme le Seigneur d'Alet au VIII Ăšme siĂšcle. Un document datĂ© de 796, indique que les moines d'Alet reconstruiront les murs d'enceinte du bourg pour se dĂ©fendre contre les invasions des Maures Sarrasins. Les Sarrasins aprĂšs la conquĂȘte de l'Espagne, pĂ©nĂ©trĂšrent dans l'Empire Franc, en suivant la vallĂ©e de l'Aude. Charlemagne qui avait chassĂ© l'envahisseur, vers l'annĂ©e 780, nomma le comte de Barcelone BĂ©ra Ier, comte du RazĂšs et de Conflent. Puis, c'est sous le rĂšgne de Louis-le DĂ©bonnaire, en 813, que le comte BĂ©ra 1er et la comtesse Romille son Ă©pouse transformĂšrent le monastĂšre d'Alet, qui depuis prĂšs d'un demi-siĂšcle avait Ă©tĂ© Ă©rigĂ© en abbaye. BĂ©ra, qui Ă©tait comte du RazĂšs et marquis de Gothie, fut secondĂ© dans cette oeuvre pieuse par de riches espagnols rĂ©fugiĂ©s de ce cĂŽtĂ© des PyrĂ©nĂ©es, pour Ă©chapper Ă  la tyrannie des Sarrasins maĂźtres de leur patrie. Une charte de 813, dit que BĂ©ra Ier, comte du RazĂšs, avait fait don au Pape LĂ©on III de l'abbaye d'Alet, suppliant le Saint-SiĂšge de le prendre sous sa protection. Dans cette charte, il demandait aussi au Pape de lui envoyer au monastĂšre une parcelle de la vraie croix et des reliques authentiques pour la dĂ©dicace de l'Ă©glise de cette abbaye. Le Pape obtempĂ©ra, il envoya un fragment de la vraie croix, il donna aussi les autres reliques demandĂ©es. L'ancienne Ă©glise en partie dĂ©truite par les Sarrasins, fut reconstruite Ă  trois nefs, vers l'an 800. Les premiers prĂȘtres conservĂšrent le Fanum de Diane, en l'appropriant au culte catholique, les BĂ©nĂ©dictins du IX Ăšme siĂšcle, comme plus tard ceux du XI Ăšme siĂšcle conservĂšrent religieusement le petit sanctuaire tel que nous le voyons encore aujourd'hui. Les noms des abbĂ©s d'Alet, sont restĂ©s inconnus jusqu'en l'annĂ©e 970. A cette Ă©poque, BenoĂźt Ier, d'abord abbĂ© de Saint-Hilaire, fut Ă©lu abbĂ© d'Alet. Un document datant de 993 Ă©voque son nom, BenoĂźt abbĂ© de LĂ©zat et d'Alet. L'abbaye d'Alet dans le jeu des alliances et des querelles des familles mĂ©ridionales, prit parti pour les comtes de Foix, et ce serait en guise de reprĂ©sailles que Pierre Raimond aurait dĂ©vastĂ© ce sanctuaire en 1032, pour y intervenir de nouveau vers 1054, comme on le verra ci-aprĂšs. L'abbaye d'Alet, le clocher Notre-Dame vu du Sud et le toit de l'abside romane L'abbaye d'Alet, l'angle Nord Ouest de la nef, bas-cĂŽtĂ©s et tribunes Nord Ă  gauche L'abbaye d'Alet, photo de gauche la travĂ©e Sud. A droite, les tribunes Nord cliquez sur la photo pour agrandir L'abbaye d'Alet, les vestiges du second Ă©tage situĂ© au-dessus des tribunes Nord et le clocher Notre-Dame L'abbaye d'Alet, les vestiges du clocher Notre-Dame cliquez sur la photo pour agrandir Les religieux de l'abbaye d'Alet suivaient les rĂšgles de Saint-BenoĂźt. Ils remplissaient avec zĂšle la mission complexe que s'imposaient les moines de cet ordre cĂ©lĂšbre. A l'Ă©tude, Ă  la priĂšre et Ă  la prĂ©dication, ils ajoutaient les soins de l'hospitalitĂ© Ă  donner aux voyageurs. Ils Ă©tendaient leur sollicitude aux malades qui venaient chercher remĂšde Ă  leurs maux dans les eaux bienfaisantes des piscines romaines. En 1030, le siĂšge abbatial Ă©tait occupĂ© par GrĂ©goire Geraud, Ă©lection confirmĂ©e par le Pape LĂ©on IX. Sous son administration, en 1054, Pierre Raymond vicomte de BĂ©ziers, petit fils de Roger 1er, alliĂ© de Guiffred, archevĂȘque de Narbonne, enfreignit la TrĂȘve de Dieu, faisant saisir dans l'Ă©glise d'Alet deux chevaliers qui s'y Ă©taient rĂ©fugiĂ©s et qui n'avaient commis aucun crime. Il fit pendre l'un de ces chevaliers comme voleur et un scĂ©lĂ©rat, il Ă©tait parent de BĂ©renger, vicomte de Narbonne. Ce chevalier fut pendu aux fourches patibulaires scellĂ©es sur un rocher qui domine Alet, au-dessus des eaux chaudes. Ce trait de cruautĂ© est mentionnĂ© dans une plainte que porta BĂ©renger, vicomte de Narbonne. Le Pape Urbain II lors de son voyage pour prĂȘcher la croisade, aprĂšs avoir visitĂ© Toulouse et Carcassonne, vint Ă  Alet le 16 juin 1096, visiter le monastĂšre et la nouvelle Ă©glise abbatiale. Il y cĂ©lĂ©bra la messe. Cette visite du souverain pontife prouva combien les abbĂ©s d'Alet Ă©taient puissants Ă  Rome. Raymond Ier devint abbĂ© en 1101. Sept ans aprĂšs en 1108, Roger II, comte de Foix, restitua au monastĂšre d'Alet 80 sols monnaie de Toulouse, pour des droits injustes qu'il exigeait du village de Valislas faisant parti de son domaine qui avait Ă©tĂ© donnĂ© Ă  l'abbaye d'Alet par Roger, comte de Carcassonne. L'abbaye d'Alet, la façade Sud donnant sur le cimetiĂšre et son portail roman l'abside de l'ancienne Ă©glise abbatiale d'Alet de l'Ă©glise abbatiale En 1116, il y eut un conflit entre l'abbaye de Lagrasse et Alet, le pape Pascal II confirme Ă  Alet la possession du monastĂšre de Saint-Polycarpe, prĂ©cisant que cette abbaye avait Ă©tĂ© enlevĂ©e Ă  Alet par la violence des pouvoirs sĂ©culiers. Cette usurpation par l'abbaye de Lagrasse va perdurer encore jusqu'en 1082, lorsque Bernard-Aton, vicomte de Carcassonne fait des donations Ă  Lagrasse et Ă  Saint-Polycarpe conjointement. Ce n'est donc probablement qu'Ă  la faveur de la rĂ©conciliation des comtes de Foix avec les Trencavel en 1095 qu'Alet peut enfin rĂ©cupĂ©rer le monastĂšre de Saint-Polycarpe. Le monastĂšre d'Alet a d'importantes possessions qui s'Ă©tendaient en 1119 jusqu'Ă  Saint-Paul de Fenouillet et Saint Papoul. L'Ă©glise abbatiale d'Alet possĂ©dait de magnifiques baies romanes que l'on peut admirer ici sur la façade Nord Les vestiges d'une fenĂȘtre circulaire sur le transept Nord magnifiquement dĂ©corĂ©e On peut encore voir des sculptures comme ici un fĂ©lin sur la façade Sud de l'Ă©glise Autre dĂ©tail sur la façade Sud de l'Ă©glise, d'une sculpture reprĂ©sentant un lion chevauchĂ© par un homme dont il ne reste que la jambe FenĂȘtres hautes riches de dĂ©cors de motifs gĂ©omĂ©triques sur la façade extĂ©rieure Sud cliquez sur la photo pour agrandir Façade Sud, porche voĂ»tĂ© en berceau, prĂ©cĂšde la porte qui s'ouvre sous une archivolte Ă  trois voussures s'appuyant sur des colonnes Ă  chapiteaux sculptĂ©s Photo de gauche, chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire, remarquez le pilier carrĂ©, il est gravĂ© dans sa partie basse, sur la photo de droite vous avez cette gravure en gros plan. Si vous avez dĂ©codĂ© le texte, Ă©crivez moi, je l'indiquerai ici. La salle capitulaire se divise en deux travĂ©es voĂ»tĂ©es chacune d'ogives sur lesquelles donnent deux absidioles Ă  cinq pans voĂ»tĂ©es d'ogives Ă  six nervures. La façade romane est composĂ©e par une porte centrale encadrĂ©e de deux larges baies dont la sculpture rĂ©vĂšle une exceptionnelle qualitĂ©. Des scĂšnes sont sculptĂ©es sur les piliers telles que La fuite en Égypte, l'Annonciation, une chasse Ă  l'ours, un centaure surmontĂ© d'un personnage, un affrontement de bouquetins. Les deux baies latĂ©rales supportent des sculptures variĂ©es oiseaux, pommes de pin, feuillages. L'intĂ©rieur de la salle fut restaurĂ© au XIV Ăšme siĂšcle. On remplaça les voĂ»tes romanes par des voĂ»tes gothiques. Bernard Ier Ă©tait abbĂ© en 1162 et Pons Amelius ou Amiel vers 1167 Ă  1197. En 1197 aprĂšs la mort de Pond Amiel, les moines Ă©lisent pour succĂ©der Ă  Pons, l'abbĂ© de Saint-Polycarpe, Bernard II de Saint-FerrĂ©ol. Cette Ă©lection dĂ©plut Ă  Bertrand de Saissac qui Ă©tait alors tuteur du jeune Raymond Roger vicomte de BĂ©ziers, de Carcassonne et du RazĂšs, et qui, en cette qualitĂ© avait une grande autoritĂ© sur le pays. Il se rendit en armes Ă  Alet et arracha le nouvel abbĂ© de son siĂšge et ordonna une nouvelle Ă©lection, aprĂšs avoir mis en fuite quelques moines. Il ordonna mĂȘme de dĂ©terrer le corps de Pons Amiel pour le placer sur la chaire abbatiale pour qu'il prĂ©side ainsi Ă  l'Ă©lection du nouvel abbĂ©. C'est Bozon qui fut Ă©lu Ă  la tĂȘte de 300 moines vivant Ă  Alet. Lors de la croisade des albigeois, Bozon livra la ville d'Alet au comte de Foix Raimond Roger, devenu tuteur du jeune Trencavel, fils du vicomte Roger. A la suite de cela, le concile du Puy-en-Velay, dĂ©cida de dĂ©grader Bozon et les moines factieux par dĂ©cret du 16 septembre 1222. En mai 1223 l'abbaye d'Alet fut unie Ă  la cathĂ©drale de Narbonne, tous les moines furent chassĂ©s et remplacĂ©s par douze chanoines sĂ©culiers de Narbonne pour desservir l'Ă©glise d'Alet. En 1233, l'abbaye fut restituĂ©e aux moines qui s'Ă©taient exilĂ©s aprĂšs un procĂšs contre l'archevĂȘque de Narbonne et le Pape nomma Udalger d'Ajort abbĂ© d'Alet qui mourut vers 1279. Ses successeurs seront Raymond II vers 1265 Ă  1279 il sera excommuniĂ© par l'archevĂȘque de Narbonne, puis Bertrand en 1284, puis Pierre en 1303. Au Moyen-Âge Alet se trouvait dans le diocĂšse de Narbonne et, Ă  partir du XIII Ăšme siĂšcle, dans l'une de ses subdivisions l'archiprĂȘtrĂ© du Haut-RazĂšs, correspondant en gros Ă  la Haute VallĂ©e de l'Aude. A partir de 1318, cet archiprĂȘtrĂ© fut inclus dans le nouveau diocĂšse d'Alet. Dans les murs trĂšs Ă©pais des cinq pans de l'abside romane sont amĂ©nagĂ©es cinq niches dont voici une des voĂ»tes. DĂ©tail d'une sculpture d'un des chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire reprĂ©sentant l'Annonciation. Sur un fond de vĂ©gĂ©tation, la vierge assise encadrĂ©e par l'ange Gabriel et par l'apĂŽtre Luc. Autre angle de vue, montrant un dĂ©tail d'un des chapiteaux Ă  l'entrĂ©e de la salle capitulaire reprĂ©sentant l'Annonciation. A gauche, dĂ©tail des sculptures sous une archivolte Ă  dĂ©cor de palmettes, couronnant un chapiteau historiĂ©. A droite, les chapiteaux historiĂ©s se faisant face d'une des baies de la salle capitulaire. AprĂšs 1234, l'abbaye d'Alet se trouve durablement affaiblie, Ă  cause de ces affaires et de la croisade des Albigeois oĂč de nombreux biens furent confisquĂ©s. Mais si l'abbatiale romane avait Ă©vitĂ© les dĂ©vastations de la croisade des Albigeois, elle ne put cependant Ă©chapper plus tard au pillage des protestants, c'est ce que nous verrons plus loin. A partir de mars 1318, il y eut Ă  Alet trente cinq Ă©vĂȘques. Voici une vue dans son ensemble de l'accĂ©s Ă  la salle capitulaire Grandes baies Ă  arcs en plein cintre d'une tribune de l'Ă©glise sur le cĂŽtĂ© Nord-Ouest de la nef de l'Ă©glise abbatiale d'Alet-les-Bains A gauche, une des absidioles de la salle capitulaire, elles sont Ă  cinq pans voĂ»tĂ©es d'ogives Ă  six nervures. A droite, on aperçoit l'entrĂ©e de la salle capitulaire et au fond le bras Nord du transept Le pape français d'Avignon Jean XXII 1316-1334 transfĂšre le trĂŽne Ă©piscopal Ă  Alet le 18 fĂ©vrier 1318. L'Ă©glise abbatiale deviendra alors Ă©glise cathĂ©drale en 1318 sous le vocable de Saint-BenoĂźt. Vers 1310, BarthĂ©lemy sera le dernier Ă©lu abbĂ© bĂ©nĂ©dictin d'Alet car il sera nommĂ© par le pape Jean XXII, premier Ă©vĂȘque d'Alet. L'Ă©vĂȘque BarthĂ©lemy mourut en 1333. Les Ă©vĂȘques vont agrandir la vieille cathĂ©drale romane afin de la transformer en une cathĂ©drale gothique. Alet va connaĂźtre une vie nouvelle avec, notamment, la construction de l'Ă©glise paroissiale Saint-AndrĂ©. On trouve gravĂ© sur un des piliers de l'ancienne cathĂ©drale d'Alet le blason de la famille de Rochefort et l'Ă©cusson de Guillaume IV de Rochefort qui fut Ă©vĂȘque d'Alet de 1489 Ă  1508. En 1531, c'est l'Ă©vĂȘque Guillaume de Joyeuse qui obtint du pape ClĂ©ment VII l'agrĂ©ment du roi François 1er, la sĂ©cularisation de son chapitre. Comme de coutume, Ă  la fin de chaque article, voici quelques photos anciennes qui raviront certains lecteurs, d'autres photos seront aussi diffusĂ©es en fin de seconde partie CathĂ©drale d'Alet extĂ©rieur de la nef cĂŽtĂ© cimetiĂšre photo rĂ©alisĂ©e par Trutat EugĂšne 1840-1910 CathĂ©drale d'Alet extĂ©rieur de la nef cĂŽtĂ© cimetiĂšre photo rĂ©alisĂ©e par Trutat EugĂšne 1840-1910 Alet-les Bains en 1905, les ruines du monastĂšre Alet-les Bains en 1905, les ruines du monastĂšre Alet-les Bains en 1905, l'Aude, on aperçoit les ruines des culĂ©es du pont romain et la route nationale Ă  droite n'Ă©tait pas trĂšs frĂ©quentĂ©e Ă  l'Ă©poque Alet-les Bains, l'Aude au Pont du Diable en 1905 Alet-les Bains, une vue gĂ©nĂ©rale prise de l'Ouest en 1905 Alet-les Bains, mine de Dolomite en 1905, qui se trouvait Ă  l'Ouest d'Alet sur la petite route de Coussergues, aujourd'hui elle est abandonnĂ©e Alet-les Bains, la source communale, l'Ă©tablissement thermal en 1905 Alet-les Bains, l'hĂŽtel Terminus proche de l'Ă©tablissement Thermal en 1905 Alet-les Bains, le lavoir communal alimentĂ© par la source d'eau chaude en 1905 Ă  comparer avec la photo ci-dessous Alet-les Bains, le lavoir communal alimentĂ© par la source d'eau chaude en 2012, on voit ici, les gens viennent toujours chercher l'eau bienfaisante d'Alet. Cette eau d'Alet, je vous en parlerai dans la seconde partie du reportage. Alet-les Bains, la gare en 1925 Alet-les Bains, l'avenue de l'Ă©tablissement thermal et la villa du Parc en 1905 Alet-les Bains, l'Ă©tablissement thermal de la source communale en 1905 Alet-les Bains, le pont du XVII Ăšme siĂšcle en 1950 Alet-les Bains, les ruines d'Ă©vĂȘchĂ© en 1950 Alet-les Bains, une photo prise cĂŽtĂ© Nord avec la porte CadĂšne et les remparts en 1950 Alet-les Bains, Ă  gauche la porte CadĂšne et Ă  doite la rue Malbec en 1905 Alet-les Bains, la grand'rue, celle qui longe les ruines de l'abbaye en 1905 Sachez aussi, qu'il est toujours possible d'y rajouter des infos, des photos, si vous en avez, contactez moi, je me ferai un plaisir de complĂ©ter l'article, Ă  bientĂŽt, l'aventure continue ... Ainsi se termine ce premier reportage, en espĂ©rant qu'il vous aura intĂ©ressĂ©, n'hĂ©sitez pas Ă  laisser vos commentaires ... et revenez me voir ! Vous dĂ©sirez ĂȘtre averti de la parution d'un nouvel article ? Inscrivez-vous sur la Newsletter ICI Eh bien, voilĂ  encore un beau reportage, qui mĂ©rite tous mes remerciements aux internautes photographes qui ont bien voulu partager et grĂące Ă  leurs clichĂ©s, permettent de documenter et de mettre en valeur ce reportage, que je rĂ©alise bĂ©nĂ©volement pour la promotion d'une belle rĂ©gion L'AUDE ! L'aventure continue ...qu'on se le dise !! Sachez qu'il est toujours possible d'y rajouter des infos, des photos, si vous en avez, contactez moi, je me ferai un plaisir de complĂ©ter l'article. Voici mon adresse mail pour m'adresser vos documents ou prendre simplement contact jp Avant de quitter ce site et pour mieux y revenir, profitez-en pour consulter aussi les sommaires du menu, il y a de nombreux sujets variĂ©s, trĂšs intĂ©ressants et instructifs, allez-y, jetez un oeil ! - Votre aide est la bienvenue ! Vous dĂ©sirez participer et me proposer des articles avec ou sans photo. 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