Ledétroit de Gibraltar est déjà spectaculaire en lui-même (Monkey Rock of Gibraltar, vue sur Ceuta, le long de la côte Afrique/Maroc et la ville portuaire de Tanger, port de Tarifa,). Le fait que les dauphins et les globicéphales aient également nagé pendant des minutes, l'équipage était également très sympathique et serviable
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Ladoctrine marocaine du passage dans le détroit de Gibraltar : laisser passer sans laisser faire Le Maroc a été géographiquement gratifié par la nature d'un positionnement exceptionnel avec un littoral qui en fait aussi bien un riverain de la Méditerranée qu'un pays ouvert sut l'Océan Atlantique. La façade maritime marocaine donnant jour sur la Mare Nostrum surplombe, à son Sur le détroit de Gibraltar, quand souffle le levant, ce vent humide venu de l'est, les habitués savent que les bateaux de migrants sont rares. Trop dangereux. Sur la mer parfois houleuse, les embarcations risquent d'être déportées vers l'océan Atlantique. Pour prendre le large, les candidats à l'exil attendent le retour du ponant, le vent d'ouest, dans l'espoir que les vagues les poussent vers les côtes espagnoles. Ces derniers mois, les arrivées de migrants sur le littoral andalou en provenance du Maroc sont à la hausse. Depuis le début de l'année, 27 000 migrants sont entrés en Espagne par la mer, plus du double qu'en 2017, pendant la même période. La Péninsule est désormais leur première porte d'entrée en Europe, devant l'Italie. "Nous avons alerté depuis longtemps les autorités espagnoles", rappelle Maria Jesus Vega, du Haut Commissariat aux réfugiés de l'ONU HCR. En 2017, déjà, environ 22 000 personnes sont arrivées ici par voie maritime, contre 8 000 l'année précédente. Les anges gardiens du détroitDans les locaux de l'association humanitaire Tartessos, au fond d'une cour ombragée, à Cadix, Branly, natif du Congo-Kinshasa, et Abdelkader, un Togolais, racontent leur traversée, trois jours plus tôt. Tous deux semblent épuisés. A la tombée de la nuit, ils sont montés dans le même Zodiac, près de Tanger. Cap sur Tarifa, pointe à l'extrême sud de l'Europe continentale. Ils étaient 45, entassés dans un bateau en plastique, dont dix femmes et deux bébés. "Dès le départ, la mer était agitée, raconte Abdelkader. Le passeur avait parlé d'une traversée de cinq heures. Onze heures plus tard, les vagues étaient déchaînées, le rivage hors d'atteinte. Nous étions transis de peur et de froid. Heureusement, l'un d'entre nous avait le numéro d'une certaine Helena." Basée à Tanger, Helena Maleno, de l'ONG Caminando fronteras, sorte d'ange gardien du détroit, informe le quartier général de Salvamento maritimo, les secours maritimes espagnols, de la présence d'embarcations en danger. Des volontaires de la Croix-Rouge apportent une première assistance aux migrants recueillis par le Luz de Mar. San Gonzalo Höhr Zamora pour L'ExpressOffre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Pourquoi l'Espagne ? La fermeture des autres routes - celle de la Méditerranée orientale, via la Turquie et la Grèce, après l'accord signé en mars 2016 entre l'Union européenne et Ankara, puis celle de la Méditerranée centrale par l'Italie - conduit les candidats au départ à essayer une autre voie d'accès. "En Afrique comme au Maroc, les causes de départ n'ont pas changé, explique Mehdi Lahlou, professeur à l'Institut national de statistique et d'économie appliquée, à Rabat. Mauvaise gouvernance, corruption, violence. Elles se sont même aggravées." DIAPORAMA >> Les migrants de Gibraltar "Au Maroc, les troubles sociaux dans plusieurs régions ont sans doute aussi éloigné une partie des forces de sécurité de la surveillance des côtes", diagnostique de son côté Ignacio Cembrero, journaliste espagnol spécialiste du royaume chérifien. Au siège de la Guardia civil la gendarmerie à Algésiras, des agents surveillent sur leurs écrans les mouvements au large des bateaux. Une multitude de points verts et bleus constellent les écrans du système intégré de surveillance extérieure Sive, des plaisanciers pour la plupart. Quand apparaît un point rouge au parcours inhabituel, il suffit de pointer le curseur sur lui pour que les radars et les caméras situées sur les montagnes alentour zooment sur l'embarcation. En cas de besoin, les vedettes de la gendarmerie seront mobilisées, parfois pour intercepter une patera, un canot de migrants, souvent pour traquer des trafiquants de haschisch. "9 pateras sur 10 quittent le rivage marocain au large de Tanger, à l'ouest du détroit de Gibraltar", moins surveillé, explique le sous-lieutenant Fuentes, l'oeil rivé sur son écran. De là, ils font appel à la sûreté maritime espagnole, autorisée, selon un accord entre les deux pays, à porter assistance dans les eaux marocaines. Ecoutez Catherine Gouëset nous raconter son enquête auprès des migrants en Andalousie sur Soundcloud. Au début de l'été, lorsque les conditions météo favorables ont entraîné une nette hausse des arrivées, l'Etat a semblé dépassé. Les communes du littoral ont improvisé, au mieux de leurs moyens Algésiras, Barbate, Los Barrios, Tarifa ont ouvert des gymnases pour abriter les nouveaux venus. "Sans le moindre ventilateur, la chaleur y était étouffante, témoigne Palma Cadela de Isla, avocate bénévole. On informait les migrants sur les démarches à suivre et on les dirigeait vers les associations les plus à même de leur venir en aide. La plupart des arrivants renoncent à demander l'asile pour des raisons politiques ou humanitaires, même quand c'est justifié ils ne peuvent apporter des éléments de preuve des persécutions subies." Avec le système intégré de surveillance extérieure Sive, la Guardia civil garde un oeil sur les mouvements de bateaux en provenance du Gonzalo Höhr Zamora pour L'ExpressAprès quelques semaines de pagaille, les autorités ont fermé les gymnases, au début du mois d'août, et installé deux centres d'accueil - l'un de 600 places, sur le site d'un ancien chantier naval à San Roque, dans la baie d'Algésiras, l'autre de 700 lits, à Chiclana, près de Cadix, administré par la Croix-Rouge. Trop peu, trop tard... Faute de place, les migrants séjournent quelques jours dans les centres, guère plus. Et le rôle des ONG reste primordial. "Hier, nous avons été sollicités pour aller chercher 14 jeunes au centre de Chiclana", raconte Gabriel Delgado, prêtre chargé de la question migratoire au diocèse de Cadix et l'un des responsables de Tartessos. "Ils restent ici le temps de souffler, de se retaper", ajoute-t-il. "Là-bas, il n'y a pas d'avenir pour les jeunes"Les locaux de l'association peuvent abriter 46 personnes, pas une de plus. Abdusalam, un Comorien âgé de 23 ans, a traversé le continent africain dans l'espoir d'une vie meilleure. "Il n'y a pas de travail là-bas. Rien." Depuis quand est-il parti ? "Je ne sais plus. Ma tête a explosé", confie-t-il, l'air absent. Sa famille s'est cotisée pour lui permettre de rejoindre son frère à Marseille. Là, "Inch' Allah !", il trouvera du travail pour venir en aide à sa mère et à ses quatre soeurs, restées au pays. Un peu plus loin, Abdelkader Djobo, 37 ans, a fui la dictature du tyran togolais Faure Gnassingbé. Il vient du nord du pays, réputé hostile au clan au pouvoir. "J'ai passé deux ans en prison sans le moindre jugement." Escroqué au Mali par un passeur qui lui faisait miroiter un visa pour les Etats-Unis, il a tout perdu. En Mauritanie, il s'est fait embaucher sur le port de Nouakchott, le temps de gagner de quoi rejoindre le Maroc. Deux ans de travail sur des chantiers à Casablanca lui ont permis de réunir le pécule nécessaire à la traversée. "1600 euros, lâche-t-il, quoique cela dépende de la négociation... Je n'ai plus un sou. J'ai des amis à Pampelune [Navarre], qui travaillent dans les champs. Je vais essayer de les rejoindre." Originaire du nord du Togo, Abdelkader Djobo a fui la répression du régime de Faure Gonzalo Höhr Zamora pour L'Express"Tous ces malheureux viennent moins parce qu'ils sont attirés par l'Europe que parce qu'ils fuient leur pays", constate Juan José Tellez, écrivain et journaliste de Cadix, spécialiste des migrations. La majorité des nouveaux venus proviennent d'Afrique subsaharienne. Moins de 15 % d'entre eux sont originaires du Maroc, parmi ceux arrivés cette année. En vertu d'un accord signé entre Madrid et Rabat, les Marocains interceptés sans papiers sont renvoyés sur-le-champ vers leur pays. Faute d'accords semblables, les expulsions vers la majorité des autres pays d'Afrique sont plus difficiles. "Une fois qu'ils quittent les centres d'accueil provisoire, ils restent sans papiers. Ils n'en sont pas toujours conscients", observe José Villahoz, président de l'association Algeciras Acoge "accueil". INTERVIEW >> "Les causes qui poussent les migrants à quitter l'Afrique s'aggravent" Les mineurs non accompagnés font exception. Ils bénéficient de la protection de l'Etat. C'est pourquoi les bateaux de clandestins marocains ne transportent quasiment que des adolescents. L'Espagne compte aujourd'hui 8 000 mineurs migrants non accompagnés, dont 70 % de Marocains. Il y a quelques jours, Susana Diaz, la présidente de l'Andalousie, communauté autonome qui en héberge le tiers, s'est plainte du manque de solidarité des autres régions du pays. La voie étroite de Pedro SanchezA Madrid, depuis le début de l'été, le gouvernement du socialiste Pedro Sanchez tente de gérer la crise. Le jeune dirigeant espagnol est arrivé au pouvoir par surprise, le 1er juin, à l'issue d'une motion de censure déposée contre le gouvernement du Parti populaire de Mariano Rajoy, après un méga-procès pour corruption. "Cela explique son impréparation. D'autant que l'immigration ne figurait pas parmi les priorité de son prédécesseur", souligne Elena Sanchez Montijano, spécialiste des migrations au Centre des affaires internationales de Barcelone Cidob, un institut d'analyse. Le centre Tartessos de l'association Cardijn à Cadix offre repos et conseils aux nouveaux arrivés. Une majorité d'entre eux sont des Höhr Zamora pour L'ExpressMoins de deux semaines après sa prise de fonction, le chef du gouvernement a médiatisé l'accueil à Valence de 630 passagers secourus par l'Aquarius au large de la Libye, après le refus de plusieurs autres ports européens, pourtant plus proches. Puis, début août, Sanchez a donné son feu vert aux 87 migrants de l'Open Arms, à Algésiras, un port loin d'être le mieux placé pour ce navire également en provenance de Libye, ce qui a surpris les ONG comme les élus locaux. Ensuite, tandis que l'Aquarius était une nouvelle fois à la recherche d'un port où déposer 141 migrants supplémentaires, rescapés des eaux libyennes, Madrid a convenu avec l'UE d'accueillir 60 d'entre eux. "Pedro Sanchez a pris la question au sérieux, juge Elena Sanchez Montijano. En témoigne la création d'un 'commandement opérationnel unique' des forces de sécurité espagnoles, et la rencontre avec Angela Merkel dans la résidence officielle de Doñana, en Andalousie, en grande partie consacrée à cette question." Au terme de cette rencontre, les 11 et 12 août, les deux dirigeants ont promis de peser sur Bruxelles en faveur d'une aide financière additionnelle à Rabat pour contrôler ses frontières. Coïncidence ? La semaine passée, les ONG ont dénoncé des rafles de migrants subsahariens aux abords de Tanger, y compris parmi ceux régularisés ces dernières années dans le royaume. Plusieurs centaines d'entre eux auraient été débarqués en bus à Tiznit, à 800 kilomètres plus au sud. Migrants invisiblesDans les rues d'Algésiras, de Tarifa ou de Cadix, malgré la poursuite des arrivées, les migrants sont à peine visibles. La plupart des candidats à l'exil ne restent pas en Andalousie, où le taux de chômage, à 23 %, accuse 8 points de plus que la moyenne nationale. Dès qu'ils le peuvent, ils se dirigent vers le nord et gagnent les grandes villes espagnoles ou d'autres pays européens. A la différence des locaux aménagés par les associations, les centres d'accueil de l'Etat et de la Croix-Rouge sont fermés aux médias. Le port de San Roque, où a accosté l'Open Arms, le 9 août, aussi. Une "opacité" qui agace journalistes et élus locaux. Le maire d'Algésiras, José Ignacio Landaluce PP, reproche à Madrid de ne pas l'avoir consulté lors de l'accueil de l'Open Arms en Andalousie. Il dénonce aussi la focalisation des médias sur les navires des ONG, tandis que ceux des secours maritimes sont passés sous silence "A Algésiras, proteste-t-il, on a reçu 30 Aquarius en un mois." L'Espagne compte aujourd'hui 8 000 mineurs migrants non accompagnés, dont 70 % de Marocains. Gonzalo Höhr Zamora pour L'ExpressA quelques mois d'élections régionales et européennes, Pedro Sanchez, à la tête d'un gouvernement minoritaire, sait que sa marge de manoeuvre est étroite. Les ONG lui reprochent de ne pas en faire assez. Mais la vague migratoire estivale a créé une surenchère à droite. Il y a une dizaine de jours, le groupuscule d'extrême droite Vox a organisé un rassemblement au coeur d'Algésiras, attirant quelque 200 personnes, afin de dénoncer l'"invasion programmée" du pays. Le successeur de Mariano Rajoy à la tête du Parti populaire, Pablo Casado, au profil plus droitier que l'ancien dirigeant, se veut intransigeant "L'Espagne ne peut absorber les millions d'Africains qui veulent venir en Europe", a-t-il proclamé, le 29 juillet, lors d'un débat à Avila. De même, Albert Rivera, patron du parti libéral Ciudadanos, critique l'"angélisme" du chef du gouvernement et dénonce, à l'instar des dirigeants de Vox et du PP, l'"appel d'air" provoqué par l'accueil de l'Aquarius. Les humanitaires, eux, fustigent cette instrumentalisation. "Les politiques parlent d'arrivées massives et d'invasion, pointe Gabriel Delgado. Utiliser la peur pour en tirer des bénéfices électoraux, c'est immoral." L'Espagne risque-t-elle de subir le syndrome de l'Italie ? En 2015, la générosité des habitants de l'île de Lampedusa avait été unanimement saluée. La maire de la principale ville, Giusi Nicolini, avait même été reçue par le pape François. Las ! Trois ans plus tard, elle a été platement battue aux élections, et l'opinion semble plébisciter le discours hostile aux migrants du ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini. Pour le moment, les deux situations ne sont pas comparables au total, depuis janvier, quelque 31 000 personnes sont arrivées par la mer ainsi que par voie terrestre dans les enclaves marocaines de Ceuta et Melilla. L'Italie, elle, avait reçu 120 000 migrants en 2017. Et une moyenne de 168 000, chacune des trois années précédentes. Maria Luisa Serrano, de Tarifeños solidarios", collecte et distribue vêtements et produits de première nécessité aux migrants dans des locaux prêtés par la mairie de Höhr Zamora pour L'Express La nuit tombe sur Tarifa. Tandis que les amateurs de kitesurf remplissent les terrasses de la vieille ville, Maria Luisa Serrano et Laetitia Goffard, de l'ONG Tarifeños solidarios, préparent des colis de vêtements dans des locaux prêtés à leur association par la mairie. Entre deux rafales de vent, on perçoit le bruit d'un hélicoptère. "Quand on les entend, on sait qu'un sauvetage est en cours, explique Maria Luisa. Nous avons eu la chance de naître sur cette rive de la Méditerranée plutôt qu'en face, ajoute-t-elle, pointant du menton la côte marocaine, à 14 kilomètres de là. Quand je vois ces adolescents désemparés, je me dis que ça pourrait être mon fils ou mon neveu. S'ils en avaient besoin, je serais heureuse que quelqu'un, quelque part, leur vienne aussi en aide." De notre envoyée spéciale, Catherine Gouëset. Photos Gonzalo Höhr Zamora pour L'Express Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux TRAVERSEEDU DETROIT DE GIBRALTAR :UN DEFI DES CYCLISTESLe 08-12-2015 à 11:44:30 Incroyable mais vrai :un groupe de 57 cyclistes . Traversée Du Détroit De GibraLtar : Un Défi Des Cyclistes · Le journal de Tanger. 10 juillet 2022 | 2:37 . Directeur de publication : Abdelhak BAKHAT; Comité éditorial; Contact; Publicité Des policiers espagnols surveillent le détroit de Gibraltar, près d'Algésiras, le 21 août 2015 Guerrero Passé minuit, les caméras et les radars qui surveillent la côte détectent une embarcation suspecte. Le centre de contrôle informe la Guardia civil au port d'Algesiras, à l'extrême sud de l'Espagne. "Ils cherchent sûrement un endroit où débarquer la marchandise", dit Jesus, un des policiers de garde qui tient à protéger son anonymat. Ils sont trois à sauter à bord d'une vedette dotée de deux puissants moteurs de 300 chevaux, avant d'allumer une caméra infrarouge. Claudio, le pilote, conduit debout, tendu, une main sur le gouvernail, l'autre sur le levier d'accélération. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Entre les lumières du port d'Algesiras et celles de l'enclave britannique de Gibraltar, le bateau vole à la surface de l'eau, laissant un épais sillage d'écume. "Braque le projecteur là-bas", crie Jesus quand soudain ils localisent un canot pneumatique sans lumière. Ses deux occupants, vêtus de combinaisons de flottaison, ne résistent pas. Mais à bord, les agents ont beau balayer la surface de l'eau de leur projecteur, ils ne trouveront rien. La cargaison a probablement été jeté à l'eau. Cette fois, c'était sans doute du tabac de contrebande. Emmenant les deux suspects et leur embarcation, la vedette rentre au port. Mais parfois, les opérations se révèlent plus violentes, et même mortelles. Pour passer le haschich produit dans la chaîne du Rif nord du Maroc, les trafiquants utilisent des embarcations pneumatiques de 8 à 12 mètres de longueur, qui comptent jusqu'à cinq moteurs et sont capables d'atteindre les 60 noeuds plus de 110 km/h. Leurs grandes organisations emploient une cinquantaine de personnes -pilotes, porteurs, chauffeurs, guetteurs- pour débarquer des cargaisons d'une ou deux tonnes, en ballots de 30 kg, explique à l'AFP le lieutenant Pablo Cobo, chef de l'équipe chargée de la délinquance organisée et de la lutte antidrogue. Chaque kilo se revendra euros dans la rue, dit-il. - Poursuites mortelles - La police emploie aussi des hélicoptères pour "mieux poursuivre les embarcations et éclairer la zone", dit M. Cobo. Les appareils, équipés de flotteurs pour le cas où ils toucheraient l'eau, volent au ras des vagues pour obliger, par le souffle des pales, la vedette en fuite à changer de cap. Le 9 août, une course-poursuite de ce type s'est achevée sur une plage de Gibraltar, suscitant des protestations de Londres contre l'entrée d'agents espagnols dans l'enclave disputée. "Ce sont des situations à risque, du fait de la vitesse, d'une mer mauvaise, des manoeuvres des trafiquants qui tentent d'éperonner notre bateau", dit Antonio, un autre garde civil. Depuis peu, ils ont même appris à faire décoller leur bateau pour qu'il s'écrase sur celui des policiers. Il arrive qu'ils lancent des objets contre le rotor de l'hélicoptère. Cela a causé la chute d'un appareil et la mort d'un agent il y a quelques années, rappelle Jesús. Des pilotes employés par les "narcos" ont aussi trouvé la mort en mer, des jeunes hommes de 20 à 30 ans attirés par une paie de plusieurs milliers d'euros dans une zone à 40% de taux de chômage, dit-il. Selon un rapport de l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies, "au cours des dernières décennies, le Maroc est devenu le premier producteur et exportateur mondial de résine de cannabis, ou haschich". La majeure partie de sa production passe en Europe, par le détroit de Gibraltar et le reste débarque sur les côtes andalouses. En 2013, l'Andalousie a saisi 262 des 319 tonnes de haschich confisquées en Espagne. Et en 2012, 73,7% des saisies de haschich en Europe avaient été réalisées en Espagne, selon le ministère de l'Intérieur. Jouant au chat et à la souris avec les policiers, les trafiquants surveillent les mouvements des patrouilles, s'aventurent sur des voies non navigables, et parfois, font sortir en mer des vedettes "leurres" sans aucune marchandise à bord. En été, profitant des bonnes conditions maritimes, ils utilisent aussi des scooters des mers, plus difficiles à détecter. Quitte à emmener par la même occasion des passagers clandestins. "Une moto peut transporter quatre ballots de cannabis et deux migrants", explique Jesus. "Quand ils arrivent à terre, ce sont eux qui se chargent d'emmener la marchandise à l'acheteur, pour payer ainsi leur passage". Les plus lus OpinionsLa chronique de Vincent PonsVincent Pons, avec Boris ValléeLa chronique de Marion Van RenterghemPar Marion Van RenterghemLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles Pialoux
Т жοሦኃ սРатዮд ዐжюх ջοзуማаվοж
Վοሾοц ውኧдաζογθ ስуруղоскЩ каснևнիчቷ
Аձի αбፌչυчУстու ξθтኔ
Ուко ζумосጵцቻք сιцኚваቷупсΥծሸцоσаհа θтрቢ ፋչажեተο
Lesliaisons maritimes reliant le port d'Algésiras (sud de l'Espagne) et ceux de Sebta et de Tanger Med restaient jeudi matin suspendues à cause des [] La vedette fait rugir ses moteurs, la caméra thermique scrute la mer et la nuit dans le détroit de Gibraltar où prospèrent les trafics, la police espagnole traque le haschich qui arrive du Maroc en énormes minuit, les caméras et les radars qui surveillent la côte détectent une embarcation suspecte. Le centre de contrôle informe la Guardia civil au port d'Algesiras, à l'extrême sud de l'Espagne."Ils cherchent sûrement un endroit où débarquer la marchandise", dit Jesus, un des policiers de garde qui tient à protéger son anonymat. Ils sont trois à sauter à bord d'une vedette dotée de deux puissants moteurs de 300 chevaux, avant d'allumer une caméra le pilote, conduit debout, tendu, une main sur le gouvernail, l'autre sur le levier d'accélération. Entre les lumières du port d'Algesiras et celles de l'enclave britannique de Gibraltar, le bateau vole à la surface de l'eau, laissant un épais sillage d'écume."Braque le projecteur là-bas", crie Jesus quand soudain ils localisent un canot pneumatique sans deux occupants, vêtus de combinaisons de flottaison, ne résistent pas. Mais à bord, les agents ont beau balayer la surface de l'eau de leur projecteur, ils ne trouveront rien. La cargaison a probablement été jeté à l'eau. Cette fois, c'était sans doute du tabac de les deux suspects et leur embarcation, la vedette rentre au parfois, les opérations se révèlent plus violentes, et même passer le haschich produit dans la chaîne du Rif nord du Maroc, les trafiquants utilisent des embarcations pneumatiques de 8 à 12 mètres de longueur, qui comptent jusqu'à cinq moteurs et sont capables d'atteindre les 60 noeuds plus de 110 km/h.Leurs grandes organisations emploient une cinquantaine de personnes -pilotes, porteurs, chauffeurs, guetteurs- pour débarquer des cargaisons d'une ou deux tonnes, en ballots de 30 kg, explique à l'AFP le lieutenant Pablo Cobo, chef de l'équipe chargée de la délinquance organisée et de la lutte antidrogue. Chaque kilo se revendra euros dans la rue, Poursuites mortelles -La police emploie aussi des hélicoptères pour "mieux poursuivre les embarcations et éclairer la zone", dit M. appareils, équipés de flotteurs pour le cas où ils toucheraient l'eau, volent au ras des vagues pour obliger, par le souffle des pales, la vedette en fuite à changer de 9 août, une course-poursuite de ce type s'est achevée sur une plage de Gibraltar, suscitant des protestations de Londres contre l'entrée d'agents espagnols dans l'enclave disputée."Ce sont des situations à risque, du fait de la vitesse, d'une mer mauvaise, des manoeuvres des trafiquants qui tentent d'éperonner notre bateau", dit Antonio, un autre garde civil. Depuis peu, ils ont même appris à faire décoller leur bateau pour qu'il s'écrase sur celui des arrive qu'ils lancent des objets contre le rotor de l'hélicoptère. Cela a causé la chute d'un appareil et la mort d'un agent il y a quelques années, rappelle Jesús. Des pilotes employés par les "narcos" ont aussi trouvé la mort en mer, des jeunes hommes de 20 à 30 ans attirés par une paie de plusieurs milliers d'euros dans une zone à 40% de taux de chômage, un rapport de l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies, "au cours des dernières décennies, le Maroc est devenu le premier producteur et exportateur mondial de résine de cannabis, ou haschich".La majeure partie de sa production passe en Europe, par le détroit de Gibraltar et le reste débarque sur les côtes 2013, l'Andalousie a saisi 262 des 319 tonnes de haschich confisquées en Espagne. Et en 2012, 73,7% des saisies de haschich en Europe avaient été réalisées en Espagne, selon le ministère de l' au chat et à la souris avec les policiers, les trafiquants surveillent les mouvements des patrouilles, s'aventurent sur des voies non navigables, et parfois, font sortir en mer des vedettes "leurres" sans aucune marchandise à été, profitant des bonnes conditions maritimes, ils utilisent aussi des scooters des mers, plus difficiles à détecter. Quitte à emmener par la même occasion des passagers clandestins."Une moto peut transporter quatre ballots de cannabis et deux migrants", explique Jesus. "Quand ils arrivent à terre, ce sont eux qui se chargent d'emmener la marchandise à l'acheteur, pour payer ainsi leur passage". Bienvenuà Tanger, ville cosmopolite et historique. Tanger se trouve au nord du Maroc dans l’une des plus belles baies de la Méditerranée située sur le Détroit de Gibraltar à moins de 15 km des côtes espagnoles. Au croisement entre l’océan Atlantique et la Méditerranée, entre l’Occident et l’Orient, c’est une véritable
Plus de navires ont traversé le détroit de Gibraltar en 2014. Soit plus de 250 chaque jour ou plus de 10 à chaque heure. La zone du détroit de Gibraltar devient incontournable en termes de commerce et d’échanges internationaux. Dans une région sensible. Le port de Tanger-Med et la Tanger Free Zone modifient le visage de la région de Tanger. A l’est du détroit de Gibraltar, à Sebta, territoire occupé par l’Espagne, Madrid permet quotidiennement à plus de porteurs marocains de gagner leur vie en exfiltrant» des produits de consommation vers Fnideq, Tétouan et la plate-forme» de Ksar el Kébir à 150 km plus au sud. Juste au nord, Algésiras est le premier port espagnol et premier port de la Méditerranée. C’est là que se trouve aussi la plus importante raffinerie espagnole de produits pétroliers. Juste à côté se trouve une base de sous-marins nucléaires. navires de marchandises par an, traversées du détroit et une concentration de marines militaires Ainsi du conflit éternel» entre l’Espagne et Gibraltar. Madrid ne reconnaît pas la souveraineté britannique sur le Rocher, comme Rabat pour Sebta et Mélillia. Mais Gibraltar, grâce au … trafic de cigarettes et d’alcools, vit et fait vivre les habitants de La Linéa, de San Roque et une partie de ceux d’Algésiras. A l’abri des bureaucrates de Londres et de Bruxelles discrets sur le sujet, Gibraltar est une petite place financière où les gestionnaires de fonds n’ont pas de plaques sur les entrées d’immeubles. Mais cela n’empêche pas aujourd’hui, que près de 20% des voitures vendues au Royaume-Uni d’être assurées … à Gibraltar. Au-delà des chiffres et des curiosités régionales, Rabat, Madrid et Londres –mais aussi Washington- se soucient de plus en plus des conséquences de la croissance du trafic dans le Détroit et son impact sur les politiques sécuritaires. Les guerres du Moyen-Orient et les menaces terroristes accentuent la tendance. Avec plus de bateaux par an, traversées de car-ferries et de fast-ferries entre Tanger, Tarifa, Tanger-Med, Sebta, Algésiras et Gibraltar chaque année et des gazoducs qui relient le Maghreb à l’Europe du sud, enjeux économiques et sécuritaires sont étroitement liés. Depuis la fin des années 1960, les Américains disposent d’une base aéronavale à Rota près de Cadix. L’ Navy ne peut rien faire en Méditerranée ni au Moyen-Orient sans transiter par la région. Si les affaires et les flux financiers sont importants à Gibraltar, c’est parce que les Anglais comprennent l’importance de leur présence sur le Rocher. En termes de colonies, de commerce et de géopolitique, les Anglais ne sont pas des amateurs. C’est pourquoi Gibraltar abrite aussi des sous-marins nucléaires, malgré l’opposition de Madrid. L’Espagne est la seule puissance présente des deux côtés du détroit de Gibraltar. Sur la péninsule à Tarifa et à Malaga, mais aussi à Sebta et à Mélillia. C’est ce qui rend et qui continuera de rendre les échanges maroco-espagnols sur la décolonisation toujours compliqués avec l’Espagne mais également avec l’OTAN. Il y a moins de six mois, en novembre 2014, le think tank madrilène Instituto Elcano publiait un rapport remarqué intitulé L’Espagne regarde vers le Sud de la Méditerranée au Sahel» dans lequel une attention particulière était portée à l’importance géoéconomique grandissante» de la rive sud. Une place importante y était réservée aux thèmes de sécurité et de défense, inséparables de la prospérité économique du Vieux continent. Un conseil de la sécurité maritime à Madrid Depuis l’an passé, Madrid dispose même d’un Conseil de la sécurité maritime qui se réunit une fois par mois et dont la présidence tourne entre les ministères de la Défense, des Affaires étrangères et de l’Intérieur. Le Maroc accélère le pas. Le détroit de Gibraltar côté sud comprend désormais deux stations de radars à Tanger et du côté de Ksar Sghir. Un port militaire doit accueillir ses premiers marins marocains dès cet été 2015. Celui-ci est situé à quelques miles de Tanger-Med, face aux côtes de Tarifa et de la baie d’Algésiras. La prise de conscience de l’importance commerciale et sécuritaire de la zone nord du Maroc méditerranéen progresse. Autrement formulée, elle a fait des pas de géant en 10 ans. Outre le lancement déterminé des infrastructures de Tanger-Med en 2006-2007, l’étude d’un projet similaire à Nador, la construction du port militaire de Ksar Sghir et le souci de développer l’arrière-pays de Fahs-Anjra relèvent de la même logique. Tanger-Med réfléchit au sens qu’il faut donner à l’amplitude que prennent les aspects économiques et sécuritaires dans la région», indique une source de TMSA à Médias 24. Le besoin d’une réflexion approfondie et professionnelle en termes de potentialités, de risques, de forces et de faiblesses se pose. Pour l’instant, si l’investissement sur Tanger-Med est l’un des plus importants effectué au Maroc au cours de ces 10 dernières années, la province de Fahs-Anjra demeure paradoxalement l’une des régions des plus pauvres et des moins alphabétisées du pays. Enjeux marocains Les enjeux sont énormes pour le Maroc. C’est dans cette zone que se recrute aujourd’hui une grande partie des jihadistes marocains et espagnols qui donnent tant de soucis aux services de sécurité des deux pays. Depuis 40 ans ici, la sagesse» populaire veut que les jeunes de la région aient le choix entre le trafic de drogue, la contrebande ou l’émigration pour s’en sortir». Depuis les guerres d’Afghanistan et d’Irak et Daech, s’est rajoutée l’option terrorisme aux trois premières. Tristes choix. C’est d’ici que s’exporte le haschich du Rif dont les revenus, des centaines de millions d’euros chaque année, servent à distordre une saine compétition politique» à Tanger, Tétouan, Nador ou Al Hoceima notamment, mais pas seulement. L’argent de la drogue joue un rôle d’amortisseur social important en étant blanchi dans la contrebande avec Sebta et Mélillia. Les produits de contrebande sont stockés à Fnideq et Tétouan avant d’être redistribués sur le reste du pays. Le circuit de blanchiment est limpide. C’est d’ici également que partent les pateras de jeunes Subsahariens originaires de pays avec lesquels le Maroc, les entreprises marocaines et la société civile marocaine souhaitent développer les échanges. Enfin, plus de trois millions de Marocains vivent au nord du détroit de Gibraltar. Dont près de en Espagne. Un autre million en France et un autre demi-million en Italie. La ville de Sebta, moins de habitants, est peuplée à moitié de musulmanès comme aiment dire les résidents espagnols de la ville pour désigner, sans distinction, les Espagnols d’origine marocaine ou les Marocains y résidant légalement ou non. En réalité, la zone du détroit de Gibraltar, de Tanger à Tarifa et de Sebta à Algésiras, se trouve à un moment historiquement porteur sur les plans économiques et géostratégiques. Le Nord du Maroc et le sud de l’Espagne se développent, les deux régions faisant le lien entre deux continents, l’un riche, l’autre au potentiel reconnu. Le moment est à saisir pour réduire l’économie de la drogue et favoriser l’entreprenariat, l’économie sociale et les initiatives privées. En 2015 comme en 2050, il y aura toujours 14 km qui séparent Tarifa de Tanger-Med, et 44 km qui séparent le cap Spartel tangérois du cap Trafalgar près de Cadix. Sur le plan géostratégique, l’importante commerciale et militaire croissante de la zone du détroit ne peut que servir son développement. C’est par là que passent 50% du pétrole et 40% du gaz consommés en Europe. Plus de 75% des importations européennes. Les ports de Tanger-Med et d’Algésiras sont autant marocains, qu’espagnols, africains ou européens. Pour les économies marocaine et africaine, Tanger-Med joue un rôle chaque année plus important. C’est de là que s’exportent les voitures et les pièces détachées de Renault et par là que rentrent les intrants des industries textiles et électroniques. Plus de camions passent par Algésiras chaque année, du côté de Tanger-Med en 2014. De Tanger-Med, Renault a expédié plus de véhicules produits en 2014 à Melloussa vers ses concessionnaires d’Europe et du Moyen-Orient. La cohérence du développement régional prend forme. En 2014, Tanger-Med a traité un peu plus de 3 millions de conteneurs, Algésiras 4,5 millions. Le port marocain est considéré comme l’une des infrastructures portuaires les plus connectées au monde, 16ème sur 100. Algésiras est le premier port espagnol et méditerranéen pour les conteneurs. Aujourd’hui, le trafic commercial à travers le détroit de Gibraltar est supérieur à celui du canal de Suez, d’Ormuz face aux côtes iraniennes ou de Malacca, au sud de la Malaisie. Gibraltar est le deuxième point de passage au monde après le canal franco-britannique de la Manche. Le doublement en cours du canal de Suez égyptien doit enfin accélérer l’importance économique de Tanger-Med et d’Algésiras. A la fin 2016, la mise en service du terminal Tanger-Med 2 doit porter la capacité du port marocain à 8,5 millions de conteneurs.
\n\n \n \n\nport marocain dans le détroit de gibraltar
Laredynamisation du projet de liaison fixe via le détroit de Gibraltar a été au cœur d'une réunion entre le ministre de l’Equipement, du transport, de la logistique et de l'eau, Abdelkader Amara et le ministre des Transports, de la mobilité et de l’agenda urbain d’Espagne, José Luis Abalos. Prise de vue par drone de Tanger. un port marocain sur le détroit de Gibraltar - Vidéo stockPrise de vue par drone de Tanger. un port marocain sur le détroit de Gibraltar - Film vidéo de Afrique libre de droitsDescriptionDrone shot of the Tangier. a Moroccan port on the Strait of Vidéos,Agadir Vidéos,Bleu Vidéos,Culture marocaine Vidéos,Film - Image animée Vidéos,Format HD Vidéos,Horizontal Vidéos,Lieu de tournage non US Vidéos,Lieu touristique Vidéos,Littoral Vidéos,Maroc Vidéos,Marrakech Vidéos,Marrakech-Safi Vidéos,Matin Vidéos,Mer Vidéos,Monnaie marocaine Vidéos,Mouillé Vidéos,Multicolore Vidéos,Afficher toutFoire aux questionsQu’est-ce qu’une licence libre de droits ?Les licences libres de droits vous permettent de ne payer qu’une fois pour utiliser des images et des vidéos protégées par un droit d’auteur dans des projets personnels ou commerciaux de manière continue, sans paiement supplémentaire à chaque nouvelle utilisation desdits contenus. Cela profite à tout le monde. C’est pourquoi tous les fichiers présents sur iStock ne sont disponibles qu’en version libre de droits, y compris toutes les images et vidéos types de fichiers libres de droits sont disponibles sur iStock ?Les licences libres de droits représentent la meilleure option pour quiconque a besoin de faire un usage commercial de photos. C’est pourquoi tous les fichiers proposés sur iStock, qu’il s’agisse d’une photo, d’une illustration ou d’une vidéo, ne sont disponibles qu’en version libre de utiliser les images et vidéos libres de droits ?Des publicités sur les réseaux sociaux aux panneaux d’affichage, en passant par les présentations PowerPoint et longs métrages, vous aurez la liberté de modifier, redimensionner et personnaliser tous les fichiers sur iStock, y compris toutes les images et vidéos Afrique, pour les adapter à vos projets. À l’exception des photos avec la mention Réservé à un usage éditorial » qui ne peuvent être utilisées que dans les projets éditoriaux et ne peuvent être modifiées, les possibilités sont savoir plus sur les vidéos libres de droits ou consulter la FAQ sur les vidéos. lMRs. 24 68 119 289 124 288 314 367 220

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