AuFront Il Peut Etre Soucieuxau Front, Il Peut Etre Soucieux; On Peut En Etre Content Mais Pas Tropon Peut En Etre Content, Mais Pas Trop; Prend Peut Etre Pour Les Autres L'addition Peut Etre Salee Quand En Prend Une; Il Peut Être Pris Pour Un Autre; Changera Peut Etre De Nom Un Jour Ou L Autre; Qui Peut Être MĂ©langĂ© À Autre Chose

L’homme ricana. Il doutait que ce soit le cas. Isia toute chose devant sa prestation, c’était Ă  rire. TrĂšs flatteur, de quoi le mettre dans de bonnes dispositions pour le faire parler. Ce n’était pas un manque de confiance en soit, mais pour lui, la jeune femme Ă  la robe rouge venait de passer en mode requin. Il croisa ses mains tout en la considĂ©rant avec une moitiĂ© de sourire. Et bien je suis un homme. Sensible comme les autres aux chants des sirĂšnes. » Il sourit. Elle lui rendit, oui, elle Ă©tait une bien belle sirĂšne, elle lui accordait volontier. Je me demandais simplement ce qui me valait ton attention. La rumeur... »Il se tut un instant, se demandant s’il n’allait pas la vexer. Mais elle aurait surement Ă©tĂ© mĂ©contente de se voir prĂ©servĂ©e d’une rĂ©alitĂ© qu’elle connaissait trĂšs bien par simple correction. Elle lui fit un signe de tĂȘte, pour l’encourager Ă  continuer. Tu es connue comme une joueuse d’hommes et de femmes, une collectionneuse. Le fait que personne n’ai jamais osĂ© tĂ©moigner d’un moment intime avec toi force les on-dit. On rajoute Ă  cela ta façon d’ĂȘtre Ă  l’aise en public, de rendre mes amies complĂštement barge de jalousie, et la question devient facile... »Il but son verre avant de terminer en la regardant dans les yeux. Tu as un tas de casseroles de racontars sur le dos. Une image pas forcĂ©ment flatteuse. Mais sincĂšrement...je pense que tout le monde se trompe sur ce que tu es...je parie que tu caches ton jeu. »Il rigola tout seul. Sauf ton cĂŽtĂ© sĂ©ducteur super dangereux ! » Cela la fit l’écouta attentivement, oui elle savait qu’elle avait une rĂ©putation et beaucoup de chose sur le dos. Et cela l’indiffĂ©rait
 en fait non, elle adorait ces commĂ©rages et en jouaient avec une certaine joie. Les gens, Ă©taient trop stupides, pour voir la vĂ©ritĂ© et bien trop jaloux de base. Elle, c’est un chat qui adore tirer sur les ficelles et sur les cordes des guitares !Et heureusement, que trĂšs peu ne tĂ©moignait, c’est une question d’honneur aprĂšs tout. Elle n’était pas une femme si facile que ça. Au contraire. Et elle aimait bien, se dire que ceux avec qui elle couchait avait touchĂ© un peu de l’exception. Il aurait Ă©tĂ© dommage, qu’elle ne soit qu’une trainĂ©e. Ah bon ? Et que disent ces casseroles ? » elle avec un rictus aux coins des lĂšvres marquant parfaitement, qu’elle se doutait. Oui, elle cachait beaucoup de chose, mais ce n’est pas Ă  lui qu’elle allait montrer quelque chose de se marrait. Barry Ă©tait gĂȘnĂ© mais il savait que c’était un jeu rĂ©gulier chez elle, forcĂ©ment. Elle voulait lui tirer les vers du nez, savoir si elle pouvait lui faire cracher des informations qu’elle connaissait dĂ©jĂ . Rien de trĂšs original. Tu prends et tu jettes, ton aise se mĂȘle Ă  des moments de cruautĂ©. Il n’y a rien de plus crĂ©atif que la mĂ©disance, surtout avec la jalousie dans le jeu. Mais...ça m’étonne que tout ça t’amuse. » Il haussa les Ă©paules. J’ai bien vu que tu te marrais Ă  faire dĂ©marrer les filles. Mais tu n’es jamais lassĂ©e ? Qu’est-ce qui te plait lĂ -dedans, qu’est-ce qui te plait Ă  jouer ce jeu-lĂ , et pourquoi, je me pose la question... » Chacun s’amuse comme il peut Barry. La bĂȘtise humaine est tellement vaste, qu’elle est toujours nouvelle et qu’on ne s’ennuie pas. » Fit Isia simplement. Eh puis j’aime pas quand d’autres nanas marchent sur mon territoire. C’est mon cĂŽtĂ© lionne ça » Fit-elle en rigolant. Elle avait presque fini son dernier plat. Ce mĂȘme rire gagna Barry par contagion, il finissait Ă©galement son plat. C’est vrai...la connerie humaine n’a pas de limite. »Il fit signe au serveur qui passa une Ă©niĂšme fois pour lui faire comprendre qu’ils avaient fini et passeraient Ă  la suite. Les assiettes disparurent rapidement par un serveur dĂ©cidĂ©ment bien poli. Isia hocha la tĂȘte avec un sourire. La discussion ne se tarissait pas. C’était plutĂŽt Ă©tonnant puisque le boxeur devait souvent rivaliser de crĂ©ativitĂ© pour meubler et Ă©viter des blancs particuliĂšrement gĂȘnant. Le problĂšme de ne pas sortir suffisamment de sa cĂąle surement. Mais avec Isia, ce n’était pas si dur et elle avait le don de le mettre Ă  l’aise. Au cours du dessert, Ă  peu prĂšs tous les sujets y passĂšrent, mĂȘme les derniers films et musique. DĂ©battre, donner son ressenti, c’était un moment tout aussi humain qu’apprĂ©ciable et qui avait la tendance Ă  faire reculer davantage l’aspect dĂ©mon au profit de l’ avaient pratiquement terminĂ© lorsque le regard de Barry accrocha quelque chose dans le dos d’Isia. Cela faisait plusieurs fois qu’il voyait le mĂȘme homme se dĂ©placer d’une table Ă  une autre. Il Ă©tait habillĂ© en vert, couleur des techniciens s’il ne se trompait pas, et il n’avait pas le moindre style du type en rencard. Au contraire, il donnait l’air du brave gars, fĂ©ru de photographie, qui prenait des clichĂ©s pour les proposer aux diffĂ©rents couples. Il venait d’ailleurs d’en photographier un lorsque Barry lui fit un signe de la main. Isia fut intriguĂ©e de voir le regard de Barry dĂ©vier et trĂšs vite un homme approcha, un technicien
 Edward, fĂ©ru de photo. Le technicien fĂ»t rĂ©actif. Il arriva jusqu’à la table tout en les saluant. Je vous prends en photo ? Je livre diffĂ©rents formats sous deux jours... »Barry ne s’y attendait pas vraiment. Il dĂ©via un regard plutĂŽt malicieux en direction d’Isia puis acquiesça en le faisant marcher C’est parfait ! Je veux un poster de nous deux. Je l’accrocherai dans ma chambre ! » Cela fit rire la belle blonde. Le technicien hĂ©sita, se demandant vraiment s’il Ă©tait pas en train de se foutre de sa tronche. Mais Barry se leva pour contourner la table et tendit la main Ă  la doctoresse pour l’inviter Ă  se lever. Un souvenir de la soirĂ©e ? »Edward regarda Isia prenant conscience de qui il avait en face de lui
 Il hĂ©sita encore plus. La jeune femme haussa les Ă©paules, ça serait le souvenir de Barry pour sa soirĂ©e. Elle hocha la tĂȘte et prit la pose. Edward fit un grand sourire les complimentant et leur montrant le clichĂ©. Puis disparu voir un autre regarda Barry. Je te la ferai passer. Tu vas rendre jaloux tes copains et Alexa. » Dit-elle un peu provocante pour la fin. J’ai attrapĂ© ton virus ! » Plaisanta Barry en retour. Elle ajoutait quelque chose quand elle vit Carson, en tenue mĂ©dicale, se prĂ©cipiter Ă  grand pas
 Il avait la veste tachĂ©e de sang. Barry fronça des sourcils en le voyant arriver et comprenait sans mal de quoi il s’agissait la soirĂ©e venait de s’interrompre. On avait besoin d’Isia. On a un problĂšme l’équipe de Lorne est rentrĂ©e dans un piteux Ă©tat. Attaque de Wraiths. Nouvelle technologie avec parasite dans l’organisme faut que tu viennes opĂ©rer au plus vite, j’en ai perdu un ! Je ne peux pas assurer seul avec Dale. » Il regarda Barry d’un air un peu Ă©tonnĂ© et navrĂ© pour lui. Carson, s’était dĂ©placĂ© en urgence, pour parler du cas complexe avec Isia sur le chemin et Ă©viter l’appel alarmant via la radio et le canal de la citĂ©. Cela devait ĂȘtre dĂ©licat
 Et sans aucune doute que cette attaque devait avoir un lien avec un faction trop connue. Isia ouvrit de grand yeux, un peu agacĂ©e d’ĂȘtre dĂ©rangĂ©, mais l’affaire avait l’air urgente. Elle se leva avec Ă©lĂ©gance et fit un bisou sur la joue de Barry. Il avait Ă©tĂ© charmant jusqu'au bout. C’est quand mĂȘme dingue, elle est toujours dĂ©rangĂ©e en ce moment ! NavrĂ©e Big Bull, le devoir m’appelle, ce fut une belle soirĂ©e merci. » Fonce ! »Et elle partie en courant sur ses talons remontants a robe pour faire de plus grandes le terme le plus adaptĂ© pour ne pas retenir la chirurgienne. Il espĂ©rait que son ton compatissant et martial, cette façon d’ĂȘtre restĂ© Ă  l’essentiel pour lui dire que c’était parfaitement normal et qu’il ne lui en voudrait pas, reflĂ©tait bien ce qu’il Ă©tait dans l’action pendant les combats du avait tout Ă©coutĂ© et il Ă©tait Ă©vident que sa fin de soirĂ©e Ă©tait bien peu de choses face Ă  la mort inĂ©luctable des autres militaires si Isia ne faisaient pas vite. D’ailleurs, le fait qu’elle se mette Ă  courir montrait bien que le jeu Ă©tait terminĂ©. Fini l’Isia charmeuse et doucement provocante, bienvenue la toubib qui avalait les dizaines de mĂštres Ă  grandes enjambĂ©es pour sĂ»r, le manutentionnaire se sentait ĂȘtre un peu con, abandonnĂ© comme ça, au milieu du repas avec le serveur qui le regardait d’un air intriguĂ©. Mais il comprenait parfaitement. Miranda qui Ă©tait a la table d’à cĂŽtĂ©, et qui Ă©piait Isia depuis le dĂ©but, venait de se faire prendre un vent par l’homme qu’elle draguait. Pourtant, elle y avait mit tous ses talents et ne se refuserait pas Ă  lui. Mais bon, elle avait fait une erreur et l’homme Ă©tait partis vexĂ© comme un pou. Elle soupira et, voyant que la blonde partait, dĂ©cida de finir sa soirĂ©e sur une petite vengeance personnelle. Elle prit place en face de Barry. Vous avez perdu votre bel oiseau ? »Le boxeur avait Ă©tĂ© plutĂŽt surpris par l’apparition de cette femme qui s’installait soudainement Ă  la place d’Isia. Il ne l’avait mĂȘme pas remarquĂ© dans le restaurant et se demandait vĂ©ritablement ce qu’elle foutait lĂ , surtout qu’il ne la connaissait ni d’eve, ni d’adam. Instinctivement, et sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, il rĂ©cupĂ©ra la rose qu’il avait offerte Ă  Isia et qu’elle avait laissĂ© de cĂŽtĂ© pour manger. Barry se disait que cette petite attention lui appartenait et que cette inconnue Ă©tait un petit peu trop proche de cette fleur, s’en faisant une menace. Il n’osait pas la renvoyer bouler nĂ©anmoins, alors il rĂ©pondit honnĂȘtement Le phoenix n’est pas une crĂ©ature qu’on enferme...mĂȘme si c’est la plus belle. »L’homme avait ses dĂ©fauts mais il Ă©tait Ă  peu prĂšs certain qu’aucune femme, qui faisait ce genre d’intrusion, n’aimait entendre le terme ”La plus belle”. Il fallait espĂ©rer que le message passe un petit peu car, vu sa fin de soirĂ©e qu’il espĂ©rait autrement plus romantique, ne serait-ce qu’une accolade avant de partir, cela ne le rendait pas trĂšs eu une petite moue boudeuse en entendant la plus belle
 les hommes sont tous con de s’éprendre de l’imaginaire ! Surtout qu’il avait repris la rose, qu'elle comptait bien recevoir pour narguer la chirurgienne. Le Phoenix, ne finit jamais avec les chasseurs
 » Elle soupira de mauvaise grĂące. Font chier Ă  toujours ĂȘtre intĂ©ressĂ© par elle. Tu peux finir ta soirĂ©e avec un autre oiseau ou aller pleurer devant le bloc opĂ©ratoire, en attendant qu’elle finisse. Sachant, qu’elle ne voudra pas de toi. » Barry leva silencieusement ses deux sourcils dans un silencieux ”T’es sĂ©rieuse toi ?”. La jeune femme s’installait comme ça, avec son Ă©norme paire de seins qui manquaient d’écraser le dessert qu’Isia avait abandonnĂ© Ă  mĂȘme l’assiette, et elle le jugeait sans mĂȘme le connaitre, le voyant faire le siĂšge d’une infirmerie en pleine activitĂ©. C’était boxeur avala le reste de son verre puis le reposa silencieusement, considĂ©rant les traits de son visage. Elle Ă©tait plutĂŽt mignonne cette rousse. Un peu trop voyante avec sa poitrine trĂšs exagĂ©rĂ© mais elle avait de quoi faire concurrence aux autres femmes si elle Ă©vitait cette attitude de charretiĂšre. Par contre, concurrencer Isia, c’était littĂ©ralement du fantasme, de la chimĂšre. Barry espĂ©rait vraiment que cette jeune femme ne les avait pas suivi jusqu’au resto dans l’attente de “l’arracher” Ă  l’intĂ©rĂȘt d’Isia ou un truc dĂ©saxĂ© dans le genre. Pour un peu, il lui aurait prĂ©sentĂ© le type jaloux qui ne lĂąchait pas Isia lorsqu’elle l’avait rejoint. Ils auraient fait un beau couple de convoitise
 Tu t’appelles comment ? » Demanda-t-il calmement. Miranda 
 InfirmiĂšre » Fit-elle avec un sourire joyeux. Bon, il ne se vexait pas lui ! Il Ă©tait pas bĂȘte alors ! Elle se garda bien de dire au secteur chirurgie. Il secoua vaguement la tĂȘte. Miranda...tu devrais Ă©viter de juger des inconnus Ă  la va-vite. J’ai passĂ© une trĂšs bonne soirĂ©e et je n’irai certainement pas pleurer la charitĂ© de mon phoenix au beau milieu de son boulot. » Il fit un signe au serveur et lui demanda un autre verre. Celui-ci, plutĂŽt Ă©tonnĂ© du changement soudain d’invitĂ©, dĂ©via son regard sur Miranda pour savoir ce qu’elle prendrait, vu que Barry n’avait visiblement pas fait comprendre l’inverse. Je ne suis pas ici pour remplir mon lit ce soir, tu saisis la nuance ? »Une nouvelle moue boudeuse. Tu ne vas pas dire que tu n'espĂ©rais pas plus ? » Elle Ă©tait vexĂ©e oui de toute façon, elle avait pourrie sa soirĂ©e. Elle prit un verre d’alcool assez fort. Non... » RĂ©pondit-il avec beaucoup d’assurance. J’ai passĂ© un bon moment avec une femme ravissante. Je n’ai pas eu d’occasions aussi sympa depuis des annĂ©es et ça me convient trĂšs bien. Tu devrais essayer, c’est plus sympa que de chercher Ă  chauffer ses draps. »Miranda Ă©tait encore plus vexĂ©e
 Elle se leva d’un bon et le regarda d’un air dĂ©daigneux. Tssss » Barry la salua avec son verre avant de le finir tranquillement et tout revint sur le DĂ©dale, il avait gardĂ© la rose avec lui. Il fĂ»t Ă©tonnĂ© de dĂ©couvrir Alexa dans la coursive menant au dortoir, l’air ennuyĂ©e. Elle avait visiblement des questions Ă  lui poser...et quelque chose Ă  lui demander...FIN DU RP 17/01/2018
lDUia. 304 234 186 43 305 245 198 90 180

qui peut etre melange a autre chose